Vivi, chère partenaire dans le crime passionnel de la découverte olfactive !

Il m’arrive souvent de ne pas penser à poster un commentaire ici bien que le coeur y soit. Je t’avais dit par téléphone tout le bien que je pensais de ton évocation... Le parfum, de mon point de vue, doit servir à l’évasion, au voyage, dans l’espace et le temps. Ce doit être une parenthèse qui nous renvoie à notre histoire, à des émotions, souvenirs, êtres chers perdus ou toujours présents. Ton évocation me touche donc tout particulièrement !

Apréès des vacances qui m’ont tenu un peu trop éloigné du parfum, je retenterai un test ou deux de Noir Epices. Malheureusement, lors de la première prise de contact (épi)dermique, il n’a évolué que sur deux notes : une mandarine confite avec de la cannelle. Agréable, mais éloigné de la puissance que beaucoup, dont toi, m’avez contée. La promesse d’un nouvel Opium, avec du coffre et une histoire, n’a malheureusement pas fonctionné la première fois sur ma peau. Mais, il paraît que parfois, il faut plusieurs tentatives pour qu’une relation fonctionne ! ^-^
Quelques autres parfums, considérés comme des chefs d’oeuvre, par d’autres et par moi, ont malheureusement connu le même sort et font de la résistance quand ils sont appliqués sur ma peau. Je tairai leurs noms afin de ne pas influencer les lectrices et lecteurs. Ils sont pourtant somptueux, mais quasi muets sur moi. Ce n’est pas vraiment nous qui choisissons le parfum. C’est surtout lui qui le fait au final.

Merci pour ta belle et imagée évocation... touchante, comme toujours...
A très vite,
Opium

Je joue le jeu de la notation et lui donne 3 étoiles : Je lui en retire une (pour le moment), pour son refus d’être "spicy" comme promis. A ton évocation, je mettrais 5/4 ! ;-)