Guerlain : la griffe de l’Homme
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Vous vous rappelez une scène du film "prète moi ta main" avec A.Chabat et C.Gainsbourg, quand la chef de projet parfums pete les plombs parce qu’elle na sait plus où elle en est : et bien il me semble que chez Guerlain, Dior et YSL, c’est pareil. Tellement de pression sur les budgets et tellement de parfums sentis et à sortir qu’ils ne sont même plus capables de se rendre compte que leur choix sentent la mousse à raser, les produits wc ou ménagés... pour le prix de parfums de luxe. Quant aux pubs (Magnifique, Dior Sport et Guerlain Homme), là oui, c’est catastrophiquement ringard. Si ça va marcher, oui, surement, mais beaucoup en viennent à souhaiter le FLOP et à douter de la crédibilité d’une marque, pour s’en détourner définitivement. J’ose penser qu’il y a une stratégie bien rodée et étudiée derrière cela (pour pouvoir exporter notamment), mais c’est quand même le constat bien triste d’une France figée dans des a prioris et son passé, qui ne se renouvelle et ne s’ouvre pas sur un secteur sur lequel elle est pourtant leader et créatrice de marges. Dommage !