Un parfum qui me fera oublier A*Men
par ginie, le 11 mars 2015
Bonsoir Lolodpt13 !
Alors moi je suis loin d’être une véritable connaisseuse. Je suis une profane et la machoire m’en tombe lorsque je lis des analyses pointues sur ce site (surtout quand j’ai la mouillette sous le nez et que je ne sens rien de tout ce qui y est décrit *-*). Comme j’ai déjà pu le dire, je serais bien incapable de décrire un parfum. Mon approche est plutôt de l’ordre de l’émotion. Mais tout de même, j’ai bien envie de vous faire partager 2 jus... Peut-être aurez-vous envie de les découvrir. Ils ne vous ont pas encore été conseillés et si ça se trouve, n’ont strictement rien à voir avec les références que vous avez pu donner. Mais c’est tant pis, je me lance. Le premier c’est Azyiadé, chez Parfum d’Empire... Vodka, fruits confits, épices... Pour moi c’est un tourbillon généreux qui éveille les sens. Il me fait tourner la tête tellement il me séduit... et il a un sillage superbe (enfin, d’après moi, d’aucuns pourraient ne pas être d’accord). J’y pense pour vous car vous parlez d’encens, de vanille et d’alcool. Pour moi, ce parfum a été la rencontre avec une autre manière de se parfumer (même si ce n’est pas moi qui le porte). Il est peut-être finalement assez éloigné de La référence A*men... Mais bon, il mérite d’être testé je vous assure ! Le second jus, je viens de le découvrir dans une petite boutique, c’est Akkad de Lubin. Au moment où je vous écris, j’ai le nez dessus (sur papier). J’ai un souvenir assez vague d’A*men, que je n’ai jamais aimé car trouvé trop sucré et écœurant ... et, en fait, juste TROP...(les goûts et les couleurs), encore que, sur quelques rares personnes, j’ai déjà pu l’apprécier... Eh bien ce Akkad me fait penser un peu à votre A*men adoré. Il a, je trouve, un côté gourmand, plus caramel que chocolat mais qui laisse place à quelque chose de plus encens ou myrrhe, peut-être un peu ambré ? (initiés, pardonnez moi l’approximatif de mon vocabulaire). Quand je regarde la pyramide olfactive de Akkad, j’y retrouve la vanille, l’encens et le patchouli... Si vous avez l’occasion de sentir ces 2 parfums, dites-moi ce que vous en pensez, votre avis m’intéresse (et me permettra d’avoir un retour sur les analogies que j’ai pu vous proposer). Allez, dernière proposition (qui vous a déjà été faite) : Sables chez Goutal. Hyper particulier, je le trouve rêche, âpre, égoïste mais je l’adore : le sentir me projette sur une dune de sable en plein milieu du désert. Peut-être encore moins en rapport avec votre recherche mais... celui-là, il FAUT le sentir au moins une fois ! Belle soirée !
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