Dzongkha
par 101, le 6 octobre 2011
Je le porte depuis quelques années, par intermittence avec la féminité du bois, je n’arrive plus à leur faire d’infidélité, à ces deux là.... Dzongkha m’emmène au Bouthan, dans un temple bouddhiste, patiné de cuir, de bois, d’encens, d’humidité, il est capiteux et terreux, c’est une odeur dont je ne saurais plus me passer.
Votre réponse
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Un iris majestueux qui se démarque par sa fraîcheur florale et printanière.
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Clau
a commenté Prada Amber
hier
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
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