Rose of No Man’s Land de Byredo, rose sans frontières
par Lauren Zaccaï, le 27 novembre 2015
La marque Byredo lance une nouvelle eau de parfum, Rose of no man’s land, en hommage aux infirmières de la Croix Rouge « qui sauvèrent des milliers de vie sur la ligne de front pendant la première guerre mondiale. » Un soliflore de rose turque avec des notes de poivre rose, de fleur de framboise et un fond de papyrus et d’ambre blanc.
Le mannequin danois et égérie de Rose of no man’s land, Freja Beha Erichsen, s’associe à Byredo, l’occasion pour elle et la marque de soutenir l’association humanitaire indépendante d’aide médiale, Médecins Sans Frontières.
Byredo promet ainsi de reverser une partie de ses recettes à l’association Médecins Sans Frontières.
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50ml / 95€
100ml / 140€
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par Sarah13, le 27 décembre 2015 à 15:51
La marque Byredo ne cesse de m’éblouir et j’ai eu récemment un véritable coup de coeur pour une de leur création : Seven Veils.
Rose of no man’s land est également une de mes dernières découvertes et j’avoue être conquise ! Ce n’est pas un parfum qui me correspond mais il est vraiment bien travaillé. L’odeur de la rose, qui me rebute d’habitude, est magnifié par une composition simple mais efficace. Ultra féminin, c’est un parfum doux et sensuel, à vaporiser généreusement.
Pour moi c’est la plus belle rose sentie dans l’univers du parfum actuellement. Je n’ai pas la prétention d’avoir tout tester bien sur.
Le seul regret que j’ai, c’est que l’odeur de rose finie toujours par m’écœurer, y compris dans un gel douche. Le port de ce parfum s’avère donc difficile sur le long terme.
Mais à tous les amateurs de rose, courez le sentir les yeux fermés. Rose of no man’s land vaut vraiment le détour. Je le préfère d’ailleurs aux roses de Serge Lutens (Sa majesté la rose et Rose de nuit).
par Doblis, le 29 novembre 2015 à 23:36
J’ai senti ce parfum hier sur leur immense carte pratiquement de taille A4 reprenant le visuel.
Avantage : on peut s’en faire un éventail dans la chaleur actuelle des grands magasins :-)
Cependant, qui peut m’expliquer l’intérêt d’aller chercher un mannequin, aussi jolie soit-elle, si c’est pour la cacher derrière ses cheveux et un énorme titre, et avec la même moue boudeuse d’une blogueuse mode se sentant obligée de faire une bouche en cul de poule sur chacun de ses selfies ?
Après tout ça, je ne peux même pas vous dire si c’est un bon parfum ou pas. Je retournerai le sentir sur une plus petite carte qui sera plus adéquate.
Bon, une chose est sûre : ça sent la rose piquante au départ en effet et la framboise arrive assez rapidement.
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Chez Byredo, il y a à boire et à manger. Une nouvelle sortie est annoncée : Slow Dance. Le descriptif qui prête à sourire, me laisse songeur, sans toutefois atteindre la poésie du vieux Serge ;-)
La marque définit le parfum ainsi :
" L’évocation d’un souvenir et d’un désir imaginée par un homme, Ben Gorham, dans une création néanmoins unisexe. Un parfum qui rassemble le féminin et le masculin, le doux et l’amer ; une distillation grisante évoquant la peau brulante de deux corps qui s’étreignent à en perdre haleine. Ici, les clichés du lycée s’entremêlent et prennent une toute autre ampleur : à la fois familière et iconoclaste, la palette habituelle du parfumeur est renouvelée, réinventée. "
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par Garance, le 7 septembre 2019 à 15:46
Oh non. J’espère que le parfum sera moins dilué que la prose...
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par Iridescente, le 7 septembre 2019 à 16:24
Je vous conseille la lecture sur Fragrantica (que la team AP me pardonne) d’un article très intriguant et nourri de réflexions sur l’art qui examine plusieurs marques chics, branchées et conceptuelles telles Comme des Garçons, Le Labo et Byredo – cette dernière offrant à ses clients une sorte de « parfum qui n’ait pas l’air d’être du parfum »... L’auteur de l’article et moi partageons, il est vrai, une incompréhension manifeste pour les charmes de la marque en question. Lui le dit beaucoup mieux.
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