Loverdose
Diesel
- Marque : Diesel
- Année : 2011
- Créé par : Honorine Blanc - Olivier Cresp
- Genre : Féminin
- Famille : Ambrée
- Style : Gourmand - Opulent
overdiabétose
par Thomas Dominguès (Opium), le 19 juin 2012
A-t-on le droit de tirer sur une ambulance ? Oui, si cette ambulance est conduite par un sociopathe qui a décidé de tout fracasser sur le trajet des urgences en empruntant une voiture volée.
En quoi Loverdose est-il "dément" au sens premier du terme ? Par le sucre à en rendre fou un pâtissier. En quoi est-il une usurpation ? Par l’usage de la copie, ou peu s’en faut, mais, cela, on l’abordera ensuite...
Loverdose, beaucoup seront d’accord ici, nous tend l’intitulé pour se faire battre. En fait d’amour à foison, c’est plutôt une succession de bluettes hollywoodiennes toutes plus pop corn et écoeurantes issues du cinéma américain de vacances d’été qu’il nous est donné de sentir ici. Et, cela porte un nom : un blockbuster. Ecoeurant, mais qui plaît au plus grand nombre. En général, je ne critique que les parfums que j’apprécie, petit travers personnel contre lequel je vais m’appliquer à remédier avec la posologie loverdosienne. Cette critique-ci, c’est, au moment de sa rédaction, celle du meilleur lancement, le "number One" quoi, de l’industrie de la parfumerie en 2011 !
Vous avez survécu à l’envahissement des power house des années passées qui ont cartonné, à Opium et à Poison, même à Angel, voici ce qui pourrait vous achever. Grosse, grosse différence : ceux-là, bien que surpuissants, étaient intéressants, et, finalement, au vu des sorties hyper-glucosées qui ont eu lieu depuis, se révèlent a posteriori, plutôt équilibrés même s’ils ont beaucoup incommodés "de leur temps". D’équilibre, alimentaire, nutritionnel, architectural ou parfumesque, il n’est absolument pas question ici.
De quoi s’agit-il alors ? De vendre un parfum comme on vend les dérivés des mêmes bonbons dont on gave les enfants au cinéma ou devant la télé avant de les mettre au régime car, finalement, après ces années de délires caloriques, ils ne ressemblent pas aux pages des magazines qui leur dictent leurs lois.
La simplicité de la formule va me contraindre, une fois n’est pas coutume, à une critique plutôt courte, nouvel exercice de style qui peut se révéler utile.
Vous l’avez compris, Loverdose sent tout ce qui est fait pour plaire à la jeunesse, ou aux néo-jeunes qui refusent de se voir vieillir : le sucre, la vanille, les notes boisées-ambrées qui ont tant de succès depuis Allure pour homme (le premier), Boss Bottled, Armani et son Code et "autres lingots". Ici, la formule "magique" à succès plutôt utilisée pour les hommes ces dix dernières années est ré-attribuée aux formules dites "pour femme" dont elle était issue.
S’il n’y avait tout ce sucre en overdose, peut-être parviendrait-on à sentir les agrumes en tête et le coeur de fleurs blanches décrits dans la pyramide fournie officiellement (jasmin et gardénia, mais où êtes-vous ?). Personnellement, c’est comme ces desserts qui pourraient être plutôt bons, mais un peu ratés car ils sont tant dosés en sucre qu’aucune autre saveur ne parvient à se démarquer... Personnellement, j’ai tendance à tapoter mes chouquettes et churros pour ressentir le goût de la pâte qui les composent (déjà bien assez grasse et lourde en soi).
Ah, si, une note se distingue clairement toutefois, et, c’est là que le bât blesse... Une facette parvient à émerger malgré tout... Une note de réglisse et d’anis caramélisée et vanillée, qui transmet une légère amertume, une sensation un peu baumée, apporte son originalité, sa profondeur, libère un peu le parfum. Et, rappelle, surtout, de manière plus que furieuse et hurlante, un autre parfum à très gros succès des années 90, que l’on trouvait déjà too much, mais se révèle, donc, au final, bien mieux équilibré et réussi : Lolita Lempicka éponyme. Il rappelle aussi La Petite Robe Noire de Guerlain, créée par Delphine Jelk, qui, revue par Thierry Wasser dernièrement pour une sortie en mainstream, rappelle elle aussi beaucoup Lolita Lempicka. Mais, en plus équilibré(e) avec ses notes d’amande et de cerise senties si souvent déjà.
Loverdose révèle deux problèmes actuels de la parfumerie mainstream : l’ascendant du sucre pour (jeunes) adultes en mal de régression, de calories à cause des régimes à répétition dont ils choisissent de se recouvrir à défaut de les avaler ; et, la copie entre marques, la forme olfactive n’étant pas protégée, ou un twist d’une form(ul)e à succès suffit à définir une soi-disant originalité dans l’acte de création. Là, où, il me semble que Kokorico n’est qu’une forte inspiration de A Men, mais plus qu’une inspiration de L’Instant Extrême pour homme de Guerlain, Loverdose nous rejoue le coup de la copie éhontée au culot d’un succès des années 90. En moins bien, mais encore plus efficace.
Loverdose, mêmes notes, mêmes deux premières lettres dans le nom apposé, même code couleur violacé... Loverdose, c’est surtout "L’overdose de Lolita" ! Ou, comment s’assurer un succès à moindres risques et coûts. Mais, aussi, comment démontrer qu’un truc insupportable pour beaucoup dans le passé peut être bien plus insupportable quand il est raté. Lolita Lempicka a connu un grand succès, il continue d’ailleurs à très bien se vendre. Une excellente raison pour une marque soucieuse d’arrivisme sans foi ni loi d’imposer un succès féminin aux côtés de ses masculins qui ont déjà "cartonné" ! Si Guerlain a fait le choix de sortir en mainstream La Petite Robe Noire, ce n’est probablement pas pour rien...
Fortement déconseillé aux diabétiques, aux personnes soucieuses de leur ligne et de leur santé... et aux personnes au palais et au nez sensibles !
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par doudou, le 21 juin 2012 à 21:56
Une fois n’est pas coutume, je crie à l’attentat olfactif !
Et pour fréquenter quotidiennement des ados dans le cadre de mon travail, je peux témoigner de son succès, et, malheureusement, de sa remarquable ténacité !
Aie aie aie, ce Loverdose en tient en couche niveau écoeurement : en plus d’être très sucré, il a un côté gras, un aspect touffu, compact. Je l’ai testé sur peau (si si, mon petit côté kamikaze !) et vraiment, je n’arrive pas à suivre un fil, une construction dans ce jus. Il me fait l’effet d’un cocktail fourre-tout dans lequel on aurait mélangé tous les ingrédients à succès du moment. C’est terrible, et triste. Quand on cumule le discours marketing de ce jus ( sensé attirer irrésistiblement les mâles !), le flacon, le jeu de mots et le sirop (heu pardon la fragrance), on confine au comble du vulgaire. Snif...
par Mado33, le 21 juin 2012 à 19:59
Hello,
Un jeu de mots se doit d’être sexy et classy, là évidemment c’est très cheap et donc de mauvais goût. On peut se permettre des jeux de mots pour les vernis à ongles, souvent décalés ou tout simplement amusants en anglais, parfois poétiques même, mais en parfumerie rien de plus dégradant que ce genre de choses, surtout quand le parfum est une catastrophe sans nom.
par Opium, le 21 juin 2012 à 16:31
Bonjour à toutes et à tous.
A nouveau, un sincère merci pour vos mots. ;-)
Tambourine : J’ai oublié de préciser une chose, qui ne transparaît peut-être pas assez dans ma critique : J’apprécie beaucoup Lolita Lempicka éponyme. Bien que gourmand, il a quelque chose d’original et d’équilibré qui me plaît beaucoup. D’où mon énervement en sentant sa version surdosée jusqu’au diabète de type 2 !
Trop porté, mal porté, c’est vrai. Pourtant, fort beau. Les amateurs/trices de sensations olfactives fortes ont tendance à affirmer leur territoire olfactif (sorte de bulle psychologique de protection à l’égard de l’environnement extérieur) de manière parfois trop ostentatoire et agressive. Ils ne se rendent pas ou plus compte, accoutumés qu’ils/elles sont à leur propre signature olfactive, à laquelle ils/elles sont assez fidèles, que d’autres sont asphyxiés par ce qui fait leur bonheur... Combien de nez asphyxiés par des Angel, Giorgio ou Opium portés en "overdoses" ? Pourtant, par touches, ce sont de très belles créations. Signées, soit. Polarisantes mêmes. Mais, dont la construction et la beauté peuvent me mettre sur les genoux. Giorgio sur mouillette, en application douce, révèle une tubéreuse bien trempée, mais, très ciselée. Charme qui se perd quand on vide la moitié d’un flacon ! ;-)
Une anecdote : Une amie portait, un soir, un parfum qu’elle me demande de sentir. Elle a une petite cinquantaine, et le porte depuis sa sortie. Dans sa nuque, je reconnais un accord chypré fruité. Mais, lequel ? Elle a porté, ou porte, Aromatics Elixir, Le Baiser du Dragon et beaucoup d’autres très belles fragrances. Mais, là, je donne ma langue au chat. Que porte-t-elle donc ? Angel en fait. Qui, avec seulement deux pshitts, révèle ses facettes bien plus complexes de patchouli sombre qu’en applications massives où seul le maltol (sucre) règne en maître !
Avec les surpuissants, il faut impérativement respecter la posologie d’application. ;-)
Ainsi porté, la pomme Lempicka est à croquer.
ChrisB : Je te comprends. Mais, il faut parfois savoir se sacrifier. Pour les autres. Et, car, parfois, on peut avoir de bonnes surprises. Mais, c’est trop rare, il est vrai !
Une question : "Loverdose : pas un parfum, une honte." C’est de Luca ou Octavian ? Ce "trancher dans le vif" leur ressemble... ;-)
Tiffy : auparfum se veut un site de critiques. Il se trouve que, récemment, l’appel à d’autres contributeurs (dont je fais partie) les a guidés vers ce qu’ils appréciaient davantage. Mais, malgré tout, certaines critiques ont été négatives, dures, mais, toujours argumentées. Comme le sont, quand il semble qu’il le faille, les critiques de Jeanne. Le publi-rédactionnel n’est pas une habitude de la maison. ;-)
Bien entendu, toute critique se doit d’être critiquable...
En revanche, nous ne blâmons jamais, et je ne l’ai pas fait, les parfumeurs. Soumis à des briefs ultra contraignants, réclamant tout et son contraire, ce n’est que grâce à leur grand talent que, parfois, un peu d’originalité ou un bel objet émerge finalement. Ils font de leur mieux. Mais, briefs, tests consommateurs et avis de toutes parts sont trop souvent là pour élaguer toute forme de créativité. Si vous saviez ce qu’on leur réclame parfois...
Pour ce qu’il en est de Loverdose, je crains que ses excellents chiffres de vente ne fassent oublier les quelques illuminés très amateurs de parfums que nous sommes. Mais, sait-on jamais... ;-)
Jean-David : Je suis plutôt parti pris pour le politiquement incorrect. Mon pseudonyme en est un bel exemple je crois. Mais, je te rejoins : L’intitulé choisi ici présentement est bien malheureux !
Bon(ne) après-midi (sous la pluie et les orages de ce "bel été" de juin pour les parisien(ne)s).
A bientôt.
Opium
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par ChrisB, le 21 juin 2012 à 18:56
Bonsoir Opium : le "une honte" c’est de moi. Par contre la critique assassine concernant le nom "Loverdose" est de celui qui a un blog célèbre "le critique de parfum". Son nom m’échappe.
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par Opium, le 22 juin 2012 à 09:29
Salut ChrisB.
Merci pour tes précisions.
A propos du nom et du jeu de mots inhérent : Je crois que nous sommes tou(te)s d’accord, il y a des fois où il vaudrait mieux s’abstenir de jouer et de jongler avec les mots...
Il y a humour et mauvais goût. Parfois, mauvais goût et humour parviennent à être synonymes. Ce n’est pas le cas présentement.
Tes mots à toi pourraient raisonner comme une contre-publicité, un slogan : Mais, pour dé-vendre ! "Loverdose : Pas un parfum... Une honte !" ;-)
Bon début de journée.
Opium
par tiffy, le 22 juin 2012 à 11:17
Je ne travaille pas du tout dans le domaine de la parfumerie, mais je sais effectivement à quel point les services marketing ou financiers peuvent dénaturer le talent des créateurs. On le constate pour les parfums, mais aussi pour la musique, la mode et même dans des domaines technologiques. Il ne faut pas jeter la pierre aux créateurs. Ils travaillent pour une entreprise ou un client et doivent se soumettre à sa volonté. Ou démissionner, mais il faut bien qu’ils gagnent leur vie !
Concernant les critiques négatives, je viens de trouver un intérêt majeur à Loverdose : faire le tri entre les sites dédiés aux parfums. On prend tous les articles parus sur ce parfum, et on trouve :
Les sites qui se contentent de reprendre (en tout ou partie) les communiqués de presse de la marque. Aucun intérêt.
Les "publi-reportages" comme vous dites, pseudo-critiques systématiquement élogieuses
Et enfin les vrais sites d’amateurs, dont auparfum.bynez.com fait partie.
Continuez sur cette voie ! Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur !
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par Opium, le 23 juin 2012 à 18:56
Bonsoir Tiffy.
Très bonnes et justes analyses concernant la création en général et les types de publications dédiées aux parfums sur internet. Le parfum au nom si mal trouvé aura, au moins, eu un avantage... Peut-être même deux : Faire échanger un peu...
Merci pour vos encouragements ! ;-)
Bonne soirée.
Opium
par tiffy, le 21 juin 2012 à 10:43
Entièrement d’accord avec cette critique. Un parfum médiocre est pardonnable s’il est le résultat d’une prise de risque, d’une tentative d’originalité. Mais là, il n’y a pas cette excuse. Pourtant ses créateurs ont montré qu’ils pouvaient faire beaucoup mieux !
Au passage, je trouve très bien de commencer à rédiger quelques critiques négatives. Bien sûr, il faut que le lecteur garde en tête qu’on parle de goût et que toute critique est donc fortement subjective, mais la critique négative peut (espérons-le !) inciter les producteurs de parfums à améliorer leurs produits.
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par Jean-David, le 21 juin 2012 à 11:17
Et le jeu de mots Loverdose n’est même pas marrant.
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par ChrisB, le 20 juin 2012 à 21:01
Je ne l’ai pas testé et ne le souhaite pas. Le nom de ce parfum se suffit à lui-même pour provoquer chez moi un rejet total. Sur ce point je rejoins un critique célèbre. Loverdose : pas un parfum, une honte.
par tambourine, le 20 juin 2012 à 16:38
assez d’accord sur ta critique ! quelle horreur ce parfum ! copie de lolita lempicka version grasse et sucraillone, la personnalité en moins.. (seul bémol j’aime bcp lolita lempicka, je l’ai même porté..., ou moi c’est angel que je n supporte pas même si je lui reconnais certaines qualités !
après certes lolita est victime de son succès, trop porté, mais c’etait une jolie composition gourmande, dans el genre, à l’époque, équilibrée par des notes de violette, qui l’empêchaient de se vautrer dans l’overdose ( :)) de sucre
par Opium, le 20 juin 2012 à 15:20
Bonjour.
Tout d’abord, je tiens à remercier Jeanne, car, sur cet article, je me suis fait plaisir ! Mais, de ce fait, j’ai été assez vachard...
J’espère que l’article ne heurtera personne et qu’il sera agréable à lire à ses futur(e)s lecteurs/trices.
Maxxxx (avec 4 "x", j’en oublie toujours un... "TsssS"), Jicky, Jle et Amalia : Merci pour vos mots, interventions et compliments. Cela fait bien plaisir ! Vraiment. ;-)
Amalia : Telle que tu décris la bonbonnière qu’est Loverdose pour toi, elle ferait presque envie ! A grignoter comme un plaisir défendu de sucrailles en tous genres. Ne JAMAIS commencer à grignoter ces trucs-là, c’est comme les chips, crackers, olives et cacahuètes, ensuite, impossible de m’arrêter. Te lire ouvrirait presque l’appétit. Mais, cela ne donne toujours pas envie de s’appliquer ce parfum "overdosé en glucose" sur la peau... Et, je confirme, avec la bonne dose de sucre collant qu’il y a, cela adhère à la peau comme un bonbon qu’on viendrait de sucer et de se coller sur l’avant-bras (qui n’a jamais fait cela quandil était petit ? ^^)...
Une palme et des félicitations à ta fille et sa maman qui l’éduque dans une certaine forme de "bon goût" (notez les guillemets qui relèvent la part de subjectivité de mes propos). Je la cite donc : "Ca sent le parfum des filles de mon lycée qui mettent n’importe quoi les pauvres" ! Qu’elle soit bénite par le Dieu des perfumistas. Tout est dit ! Malheureusement...
Jle : La Petite Robe Noire, que tu trouves "édulcorée" de ses fleurs, fruits et éléments intéressants, pour être aujourd’hui une bombe calorique nucléaire, si elle a une tête franchement trop sucrée qui dure des heures, à un moment, le fond travaillé malgré tout un peu comme les confiseries Guerlain actuelles, parviendrait presque à me séduire (après plusieurs heures malgré tout hein...). Cela n’arrive pas avec le carburant au sucre qui caracole en tête des ventes depuis quelques mois. Prépare-toi, c’est du lourd. J’attends avec impatience de lire tes impressions ! ;-)
Bon, afin de rééquilibrer la note moyenne pour qu’elle ne paraisse pas être ce qu’elle n’est pas, je vote dès à présent.
Je pense que vous avez deviné combien je lui attribue... Allez, note maximale ! ... Vers le bas ! ^^
Merci encore pour vos écrits et mots adorables. ;-)
A très bientôt.
Opium
par amalia, le 20 juin 2012 à 13:57
Testé hier soir et m’a foi j’ai eu l’impression d’avoir plongé le nez dans une bonbonnière : dragibus, chamallow, tagada le tout surmonté d’un pain Zan aromatisé à l’anis (J’ai passé une licence ès Haribo) y a des fleurs là dedans ???
Et tenace avec ça !!! Je le sentais encore après un bon savonnage dans les règles.
Je dois préciser qu’il ne s’agissait que de l’eau de toilette alors l’eau de parfum j’ose même pas imaginer...
Une remarque de ma fille à quelques mètres de moi "ça sent le parfum des filles de mon lycée qui mettent n’importe quoi les pauvres".
Quant à l’article, il est génial bien sûr !!!
par Maxxxx, le 19 juin 2012 à 14:54
4 étoiles pour la plume d’Opium... Le parfum lui, je ne l’ai pas senti.
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par Jicky, le 19 juin 2012 à 16:15
Nan mais on dit qu’il faut 4 étoiles pour Opium mais pas en vrai !
Après les gens ils vont croire que c’est bien !
Je commenterai plus tard, mais aucune surprise, ce parfum est MAUVAIS
;)
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par jle, le 19 juin 2012 à 17:26
Je me ferai un plaisir de sentir pour de vrai cette fragrance jeudi soir à la boutique d’Orly entre les odeurs de bouffe du snack tout à côté et celles de kérosène brûlé omniprésent des avions.
Je dis pour de vrai car je vois déjà très bien grâce à Opium à quoi m’attendre. J’irai me laver le nez ;0)
La petite robe noire, puisqu’elle est citée, n’est guère plus réjouissante, du moins sa version actuelle encore édulcorée et simplifiée...Préférez la vraie confiture de cerise noire basque sans sucre, un authentique régal sur du pain comme du fromage !!
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