Dolce & Gabbana lance Dolce
par Jeanne Doré, le 10 janvier 2014
Après l’avalanche de dérivés de The One et les relancements de ses classiques revisités, D&G lance enfin un "vrai" nouveau féminin, simplement baptisé Dolce.
Se décrivant comme un voyage sensoriel au coeur de l’ADN de la marque, la Sicile, Dolce est un doux et féminin mélange de fleurs blanches, avec du néroli, et de l’amaryllis, qui serait utilisé pour la première fois dans un parfum... Il contient également des notes de papaye, narcisse, cashmeran et musc.
Et pourquoi ils n’ont pas plutôt relancé Sicily ?
(Lancement aux Etats-Unis pour l’instant, seulement.)
Source : Nowsmellthis
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par papillondessenteurs, le 10 janvier 2014 à 14:36
MDR Jicky, je suis complètement d’accord avec toi :-).
Jeanne merci pour cette news, on verra ce que cela donne mais franchement vu les derniers lancements sous P&G ...
Et je vous suis, j’aimerais mieux qu’ils ressortent Sicily en le laissant fidèle à l’original, je suis si triste qu’ils l’aient arrêté :-(.
Pour info je les ai contacté pour leur expliquer mon malheur, j’ai eu droit à une réponse qui signifiait "C’est la vie, arrête de nous saouler avec tes reliques", et ils n’ont pas laissé entendre qu’ils prenaient note de ma demande ...
Ne devrions nous pas lancer une pétition pour le retour sur le marché de Sicily ?! ;-)
par Jicky, le 10 janvier 2014 à 14:12
C’est vrai que la papaye et le narcisse ont vraiment une grande filiation olfactive en commun. Pourquoi diable est ce que personne n’y avait pensé avant ???
[*big ironie inside*]
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par Chris, le 10 janvier 2014 à 19:36
et l’odeur de la papaye verte ??? c’est une vraie question, Jicky (^_^)
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Moui.....si c’est dans la lignée de chewing-gum et chewing-gum intense...
J’ai sorti de mes boîtes à trésor un échantillon de Sicily...oh que c’était beau, cet équilibre entre les notes savonneuses et orientales douces, avec un petit twist végétal. Une élégance sensuelle, une femme de chair et de sentiments, le visuel était superbe et cohérent, ça c’était un merveilleux travail....
Cela a été écrit ailleurs, mais je commence à ne plus bien supporter les discontinuations à répétition de la part des marques. Renier ses propres créations, c’est à la fois mépriser le public, occulter toute la dimension émotionnelle, l’attachement que les gens développent auprès d’une odeur. C’est aussi se rabaisser au rang de simple fabricant de sent-bons interchangeables dénués de toute expression. Blurp. ( renifle Insolence sur son autre poignet pour se consoler, puisque celui-là au moins on le trouve !)
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