Colonia Quercia, par Acqua Di Parma
OPÉRATION DECOUVERTE
Présentation
La force majestueuse d’un ingrédient noble.
Dans une composition magnétique, l’âme éternelle d’une terre noble
Un parfum magnétique et puissant. Une composition sensorielle généreuse, qui saisit l’âme éternelle d’un arbre noble. Colonia Quercia porte en soi la force d’un arbre majestueux qui exprime symboliquement un univers. Dans le développement olfactif de cette fragrance, la transparence unique des agrumes de Colonia rencontre les parfums de la mousse et des écorces, les senteurs verdoyantes et lumineuses qui accompagnent une longue promenade dans les bois.
Des notes profondes dévoilées par un ingrédient précieux de la haute parfumerie comme l’absolue de mousse de chêne, dans une alchimie élégante et originale. Une fragrance faisant vibrer le cœur des amateurs d’une tradition qui, de génération en génération, conserve tout son charme et sa vitalité.
Une fragrance vibrante, généreuse
Des notes de lumière et d’élégance
La splendeur ensoleillée des agrumes rencontre l’absolue de mousse de chêne
L’ouverture limpide et pétillante annonce la personnalité typique et inoubliable de Colonia. Une note de tête à base d’agrumes où se marient la bergamote, le citron, le petit-grain et le poivre rose. À peine commencé, le voyage se poursuit au cœur du parfum, exhalant les accents aromatiques et vibrants de géranium, cardamome et bois de cèdre. C’est le prélude au grand final, puissant, sophistiqué et d’une intense luminosité. Véritable note maîtresse, l’absolue de mousse de chêne réveille la transparence initiale, mais avec une magnificence olfactive toute particulière, qui confère encore plus d’originalité à la composition de cette Eau de Cologne Concentrée. Un ingrédient rare aux innombrables nuances, qui procure à Colonia Quercia une persistance unique et l’habille d’une élégante intensité. Dans le fond vibrant, les senteurs de mousse et de sous-bois sont sublimées par les délicieux accents de fève tonka et par la chaleur précieuse du patchouli.
Un ingrédient précieux, vital et noble
De la haute parfumerie, l’absolue de mousse de chêne
Elle pousse sur le tronc du chêne, dont elle partage la force ample et pleine, qu’elle libère au gré de ses puissantes notes olfactives. Dans le monde de la haute parfumerie, l’absolue de mousse de chêne est l’un des ingrédients les plus nobles, les plus précieux et les plus anciens. Une substance indispensable pour donner de la persistance et du caractère aux compositions les plus raffinées.
Pour en obtenir de petites et précieuses quantités, il est nécessaire de cueillir la mousse en hiver et au printemps, en la laissant ensuite sécher et reposer afin qu’elle puisse mûrir dans toutes ses tonalités olfactives. L’absolue est alors extraite de la concrète de mousse, particulièrement riche en nuances sensorielles. Des notes vertes et boisées, mariées au parfum profond des bois, dans une harmonie douce et résolue à la fois, gorgée des senteurs humides de la terre et des feuilles. Inoubliable comme une promenade matinale au pied de chênes magnifiques.
La pureté du style
Un design minimaliste et recherché
Un raffinement unique dans les détails et le savoir-faire artisanal
Colonia Quercia se distingue par son flacon Art déco emblématique, décliné dans les teintes caractérisant toute la collection. Un marron profond pour le bouchon et pour le flacon en verre d’une extrême pureté, des reflets bronze pour l’étiquette. Chaque détail, matière et finition révèle toute la maestria artisanale italienne qui marque depuis toujours les créations d’Acqua di Parma. Colonia Quercia est proposée en deux formats : le format classique de 100 ml et celui plus spectaculaire et généreux de 180 ml.
Tous deux sont présentés dans un coffret entièrement habillé à la main de papier précieux aux nuances sophistiquées de tabac. Le design minimaliste et superbement classique trouve une note précieuse dans le satin couleur bronze qui pare l’intérieur.
Fonctionnement
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Les membres sélectionnés devront venir nous raconter, sous cet article ce que ce parfum leur a évoqué, nous dire quelles ont été leurs impressions, s’ils l’ont aimé ou au contraire s’il les a laissés indifférents...
Un tirage au sort sera ensuite effectué parmi ceux des 15 sélectionnés qui auront posté leur avis et le gagnant recevra un flacon de cette création.
Thème
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par Solance, le 1er septembre 2016 à 18:09
Bonjour chers auparfumistes,
Et je commence par vous présenter mes excuses pour ce commentaire bien tardif sur ce parfum dont l’échantillon m’est parvenu il y a maintenant 1 mois et demi… entre vacances, surcharge professionnelle et travaux de décoration à la maison, j’avoue que mes rêveries olfactives ont pris des vacances et que j’effectue tout juste ma rentrée sur ce plan…. ;)
Peut-être aussi, ce retard s’explique-t-il par le fait que ce parfum ne m’a … rien évoqué de bien positif ou marquant… et que je me suis trouvé en peine pour en dire quelque chose d’intéressant.
C’est extrêmement rare que je qualifie un parfum de « masculin » car comme beaucoup d’entre vous, je considère que les parfums n’ont pas de sexe et il y a dans ma collection autant de fragrances classifiées comme masculines que comme féminines… Celui -là cependant m’a immédiatement fait penser aux parfums qui se veulent « virils »… hélas virils bruts et cheaps…
De la lavande à plein nez, une lavande assez grossière, des bois indéfinissables derrière… bref, on a déjà fait plus subtil, plus intéressant, plus créatif…
J’ai du mal à comprendre qu’une marque de niche lance un jus aussi insignifiant…
Désolée de ne pas réussir à en dire davantage, mais autant j’ai été surprise, intriguée, dérangée, mais dans le bon sens par un parfum comme IWAT TWAT d’Attache-moi, même si je ne me le suis pas approprié pour le porter, trop spé pour moi, autant ce jus là m’a ennuyée, pour rester polie… Le curseur de mon imagination et de mon intérêt est resté cloué au sol…. Aïe…
De cette maison qu’est Acqua di Parma, j’apprécie bien davantage le beau Colonia Leather ou le souriant Iris Nobile.
par Vesper, le 28 juillet 2016 à 19:05
Véritable note maîtresse, l’absolue de mousse de chêne réveille la transparence initiale...
La mousse de chêne, peut être ma note de parfumerie préférée depuis qu’une collègue m’en a ramené une mouillette après une conférence de Jean Kerleo.
Ah comme je l’ai attendu mon échantillon de Colonia Quercia !
Il s’était perdu. Il a fini par arriver et... pendant ce temps l’inévitable lien s’est tissé : Quercia - Quercus - Chêne... mon grand amour lutensien perdu.
Au final que dire...
Sur mouillette, j’ai failli renoncer. Au premier essai, j’ai subi un explosion de patchouli, et pas celui que j’aime (comme celui de l’Heure Défendue, par exemple). C’était suffoquant et à mille lieux de ce qui était annoncé.
Malgré tout, j’ai essayé sur peau. Comment parler d’un parfum sinon ?
Du cèdre, oui, du patchouli c’est évident (quoique moins tonitruant que dans mes premiers essais) et des bois qui piquent. Beaucoup, trop.
Je ne sais pas si ces molécules qui me dérangent tant sont la signature d’un parfum frais moderne. Ce ne sont peut-être même pas ces odeurs que Denyse Beaulieu appelle les bois-qui-piquent. Mais ça me sature douloureusement le nez.
De mousse de chêne, celle que j’adore dans Chêne ou dans de vieilles versions de Miss Dior, je n’ai (presque) pas trouvé trace. Quand je la trouve, elle est tellement mal encadrée par les autres notes que je ne peux que plisser le nez.
Pour moi, cette cologne concentrée est juste importable.
Après l’essai de Palissandre d’or j’avais un doute. Maintenant c’est clair, je n’aime pas les boisés modernes.
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par Poupoune1607, le 28 juillet 2016 à 20:11
je ne sais plus si j’avais posé le nez sur celle-ci, mais à mon nez les dernières colognes AdP sont effectivement blindées de bois ambrés (ou boikipiquent), ce qui est fort dommage.
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par Vesper, le 28 juillet 2016 à 21:04
Merci de confirmer Poupoune.
J’évite la pièce dans laquelle j’ai préparé la dernière mouillette pour être sûr de ce que j’avais ressenti. J’ai été un peu maladroit et j’hésite à y mettre le feu maintenant (à la pièce, pas à la mouillette).
Je me suis, enfin, permis de lire les autres critiques. Je ne suis visiblement pas le seul à trouver ça un peu trop "viril power façon Invictus". C’est dommage, il y avait de jolies notes.
Mais bon... l’air des clochettes par Nicki Minaj, tout le monde peut s’en passer.
par Senga, le 26 juillet 2016 à 01:09
Bonsoir.
J’ai été contactée par mail pour donner mon adresse et recevoir cet échantillon.
Malgré ma réponse, je n’ai pas eu de courrier avec "Colonia Quercia".
Voyant aujourd’hui les 11 réponses, je ne crois désormais plus rien trouver dans ma boîte à lettres.
La lettre s’est-elle perdue ? Ai-je été oubliée ?
Snifff...
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par domik, le 27 juillet 2016 à 13:55
Bonjour
Vous devriez peut-être répondre au mail. C’est encore le meilleur moyen je crois. :)
La poste est parfois capricieuse. Mais nous n’oublions personne..
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par Senga, le 28 juillet 2016 à 01:47
Bonsoir.
Je vous remercie de votre réponse mais comme je l’ai indiqué dans mon post, j’avais bien répondu au mail et donné mon adresse.
Je n’ai rien reçu alors qu’ayant fait partie d’un autre essai, la lettre m’était bien arrivée dans les délais...
Ah ! La Poste ... :-((
par Thin white duke, le 25 juillet 2016 à 22:11
Colonia Quercia
Très marquée par les agrumes qui semblent confits car loin d’être acides, l’ouverture se fait fraîche mais néanmoins épicée par la cardamome. Cela donne au parfum un petit côté pharmaceutique qui rappelle le pot-pourri de Santa Maria Novella qui est loin d’être désagréable. Chemin faisant, il se fait plus épicé évoluant vers des notes boisées et sèches sans toutefois que les agrumes disparaissent complètement. Au contraire ils laissent entrevoir par leur transparence le fond boisé, très sec qui s’épanouit enfin puissant sans être agressif. Cette force et cette puissance me font penser au « Guépard » de Visconti et plus précisément au Prince Don Fabrizio Salina qu’interprétait Burt Lancaster. Puissant, noble assistant au déclin d’un monde qui fut le sien fort comme un chêne. Pas de doute c’est cette odeur de bois qui devait émaner de lui ! Pour en revenir au parfum, sa tenue est exceptionnelle et cette note boisée puissante et raffinée à la fois semble se glisser sous la peau pour la parfumer à cœur. C’est la peau qui devient écorce, une écorce chauffée au soleil bien loin de ces notes de terre humide et de sous-bois. C’est une grande réussite, d’un raffinement extrème qui nous est proposée ici par Acqua di Parma.
par lorelei, le 20 juillet 2016 à 11:31
Merci Au Parfum de m’avoir permis de tester en avant première cette nouvelle fragrance de cette marque prestigieuse qui me faisait quelque peu fantasmé.
J’attendais beaucoup de cette Cologne et dans l’ensemble. je n’ai pas été déçue.
Un départ frais, très citronné, un peu Cologne classique extrêmement plaisant et bienvenu par cette chaleur caniculaire. Puis, très vite, le cèdre et la mousse de chêne s’imposent mêlés à la tiédeur terreuse du patchouli. L’ensemble devient alors presque austère, autoritaire et très masculin à mes narines. Son sillage et sa tenue sont remarquables et je suis confondue par la classe et l’harmonie de cette création.
Néanmoins, je peine à me l’approprier tant je la trouve austère.
J’adorerais humer ce parfum sur une personne desexe masculin, elle doit alors prendre une autre dimension.
Je sais que le clivage masculin -féminin n’est pas de rigueur dans l’univers de la parfumerie mais j’imagine difficilement ce jus sur une femme. Du moins pas sur moi !
En résumé et conclusion, une découverte qui m’a séduite et que je pourrais bien offrir à mon compagnon.
par Nemeo, le 19 juillet 2016 à 23:49
Très content de pouvoir tester ce jus, ayant beaucoup aimé Colonia leather, je commence par tester sur mouillette. L’entrée est très agrumée, acide et citronnée. Se calmant un peu, on commence à percevoir un peu de profondeur : une facette florale un peu entêtante que je ne reconnais pas, un fond légèrement boisé. C’est agréable, fin, assez peu démonstratif. Discret est peut-être un adjectif un peu fort, mais il est vrai qu’au bout de 10 minutes, après être allé remettre à zéro mon nez, il fallait s’approcher à 10cm pour percevoir autre chose que la légère aura agrumée.
Peu à peu, un côté vert apparaît, qui me fait penser à du gazon coupé ou du thé. Il est enrobé par un je-ne-sais quoi de guimauve. Et ce boisé de mousse de chêne toujours légèrement présent.
Sur moi, je l’ai trouvé trop discret. Je l’ai oublié très vite, n’ai eu pratiquement aucun rappel du parfum pendant la journée, mes amis habituellement attentifs n’ont fait aucune remarque.
Autant j’apprécie ce parfum, autant sa discrétion fera que je ne l’achèterais pas. Mais peut-être cela sera-t-il au contraire un avantage pour d’autres personnes ?
par mam’isa, le 18 juillet 2016 à 22:08
Bonsoir, Merci à Auparfum de me permettre de découvrir en avant-première cette nouvelle eau d’Acqua di Parma.
Le départ est lancé : très frais, citronné, classique en fait, agréable même par cette chaleur caniculaire. Mais la suite est trop puissante, je décroche. Je n’ai pas les mots pour décrire les notes de ce parfum : peut-être lavande, boisé, est-ce une fougère en fait ? Je l’ai fait tester à une proche : "Du champignon !" m’a t elle répondu ! Bon, OK, ça sent le bois, mais trop c’est trop.
Le nom de "Quercia" m’avait fait rêvé à un boisé plus subtil, j’avais imaginé les sous-bois du causse du Quercy (l’origine du Quercy est donc le chêne, omniprésent dans le Lot ?), les pierres sèches, les ajoncs desséchés, et puis la pourriture des feuilles en hiver... Mais ce parfum est décidément trop masculin, trop massif, un peu écœurant, en fait. Je resterai fidèle aux flacons bleus de la marque, dont les noms eux-aussi me font rêver et voyager en Italie : cyprès, genièvre, myrte, orange, citron, bergamote..
par pasimon, le 17 juillet 2016 à 20:10
Acqua di Parma est une maison que j’affectionne tout particulièrement, en particulier au travers de ses trois précédentes fragrances issues de cette collection. Mon coup de cœur est Ambra et son ambre gris fruité, mais le cuir framboise de Leather est également magnifiquement réalisé et l’Oud-santal-vanillé est lui aussi très joli.
Je trouvais aux trois une trame commune (en dehors des agrumes), que je n’arrive pas bien à identifier, mais qui était pour moi la marque de fabrique de cette collection (une sorte d’huile boisée vanillée-framboisée...) et que j’adore (si quelqu’un peut m’aider à identifié ce dont il s’agit je serais ravi).
J’attendais donc beaucoup de ce Colonia Quercia. Verdict ?
L’ouverture est très (très) chargée en agrumes (bergamote, citron) et alcool.
S’ouvrent ensuite des notes épicées (poivre) et terreuses. Jusque là Colonia Quercia me rappelait étrangement Allure pour Homme de Chanel.
Dans les notes de fond, je perçois fortement le patchouli et la mousse de chêne avec les note d’agrumes qui persistent.
Je n’ai trouvé dans cette fragrance ni originalité, ni la qualité habituelle des parfums AdP... ni la trame commune que j’aimais tant dans les précédents opus (ou bien étouffée derrière cette mousse et ce patchouli que je trouve sans raffinement). La note d’agrumes reste fade et je trouve qu’elle ne se mêle pas du tout au reste.
Il me semble qu’AdP surfe sur la vague actuelle de parfum agrumes / terreux (type Azzaro Wanted &co) que je n’apprécie guère. Sans apporter de valeur ajoutée et en mettant de côté leurs plus jolies notes.
Au final une sortie assez décevante pour ma part... Surtout comparé aux trois autres (que je trouve délicieux).
par Youggo, le 17 juillet 2016 à 17:20
Je me disais, naïvement « oh, une cologne Aqua di Parma autour du chêne, ça peut être joli ! » C’était oublier le dénomitatif « cologne concentrée » (toujours ce méfier de ce type d’appellations).
Le résultat est donc malheureusement sans surprises : un jus le cul entre deux chaises, qui hésite entre la cologne sport et la fougère musclée, virile à souhait et sans finesse aucune.
Dès le départ, un magma d’accords masculins mal assemblés, entre hespéridé facile et déodorant type Brut en moins beau. La note mousse de chêne apparaît bien à un moment dans tout ça, associée au cèdre, mais c’est assez fade avec un côté carton désagréable. Et comme le laissait craindre l’appellation « concentrée », notre chène est soutenu par les inévitables bois ambrés piquants qui s’installent et vous collent à la peau des heures durant.
C’est puissant, c’est le mâle dans les vestiaires, c’est brouillon, lourd, tenace… mais très dans l’air du temps, alors ça peut marcher.
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par ghost7sam, le 18 juillet 2016 à 23:59
j’ai jeté la touche au bout d’une heure, donc pas de quoi émettre un avis vraiment constructif.
Mais en gros, j’ai cru que je m’étais trompé de produit et que je sentais un gel douche Auchan...
Acqua Di Parma est une marque que j’adorerais apprécier, mais les 3 ou 4 derniers font vraiment cheapos je trouve.
Des petits agrumes pour justifier le nom ’Colonia’, puis des bois synthétiques à fond les manettes, et pi voilà 160e (le cuir ouais à la limite, mais le Ambra est copié-collé de Quercia schématiquement parlant)
Je ne connais pas la gamme bleue, mais autrement je tends à dire que seules les Colognes tiennent la route.
C’est trop dommage, car l’identité de cette marque est forte et me pousse tout de même à chaque fois à sentir les nouveautés même après les déceptions...
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par pasimon, le 28 avril 2017 à 10:28
Bonjour !
Certains d’entre vous ont-ils testé les deux nouveautés de la collection que sont Colonia Mirra et Colonia Ebano ? J’ai eu un petit coup de cœur pour les trois premiers (même si j’étais très déçu par la Colonia Quercia...)
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