Auparfum

Parco Palladiano, les jardins de Vénétie par Bottega Veneta

par Pauline Jubet, le 23 juin 2017

La collection Parco Palladiano de Bottega Veneta, qui avait proposé en 2016 six premiers parfums très remarqués, accueille trois nouveautés pour élargir son “trompe-l’œil olfactif”.

Inspirés des villas de l’architecte Palladio, construites en Vénétie à la Renaissance, les parfums de la collection Parco Palladiano sont conçus autour d’un ingrédient de la région, avec l’idée de retranscrire un moment passé dans le jardin palladien. Parco Palladiano VII, VIII et IX célèbrent les senteurs du printemps de la région vénitienne, qui est aussi le berceau de la marque.

Parco Palladiano VII
Créé par Michel Almairac qui avait déjà composé les numéros I et VI de la collection, Parco Palladiano VII offre un tableau olfactif matinal, où le lilas, avec son « odeur fraîche et poudrée [...] se mêle à la senteur saline de la lagune vénitienne ».

Parco Palladiano VIII
Mylène Alran, qui avait participé à l’élaboration du VI avec Michel Almairac, a créé pour Parco Palladiano VIII « une promenade au milieu des orangers dans l’après-midi », au moment où le soleil est le plus haut dans le ciel. Pour retranscrire le plus fidèlement possible ce moment olfactif, le néroli, la fleur d’oranger et le petitgrain sont rassemblés, en contraste avec un fond boisé.

Parco Palladiano IX
Sidonie Lancesseur a composé un parfum décrit comme floral boisé, en s’inspirant des odeurs du jardin en fin de journée. On y retrouve un « contraste entre l’odeur de violette et des bois ».

Tout comme ceux des six premiers parfums de la collection, les flacons de Parco Palladiano VII, VIII et IX sont inspirés du savoir faire des maîtres verriers vénitiens et de la technique de l’intrecciato, procédé artisanal de tissage du cuir.

Parco Palladiano VII, VIII et IX, 265 euros/100ml
Disponible en juin 2017

Premières impressions

Ces trois nouvelles créations atteignent le même niveau d’excellence que les précédentes dans la même collection. On y retrouve la même épure, finesse, délicatesse, élégance et précision de l’exécution. Coup de cœur pour le VIII, une fleur d’oranger-néroli vraiment somptueuse, avec des facettes de guimauve, des notes aromatiques de toute beauté, et une tenue remarquable.

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