Karl Lagerfeld nous embarque dans sa Kapsule
par Jeanne Doré, le 24 juillet 2008
Après quelques expériences infructueuses (Photo, KL, Lagerfeld Classic...), et en partenariat avec le groupe Coty, le plus germanique des créateurs lance Kapsule, une gamme de trois parfums unisexes à porter seul ou à combiner.
Un peu à la manière des innombrables i-pod pré-remplis avec différents styles de musique collectionnés par l’artiste, Kapsule se veut "une véritable garde-robe de fragrances à assortir selon son humeur", le tout à un prix "très abordable" (37 € le flacon de 30 ml).
Light est un accord d’orange amère, jasmin, muscade, girofle et musc composé par Mark Buxton.
Floriental est composé de feuille de lierre, violette et thé noir, et a été créé par Emilie Coppermann.
Woody est un boisé à base de cèdre, mousse et prune, signé Olivier Cresp.
Disponible fin octobre 2008 chez Colette et dans les parfumeries Marionnaud
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par jerryb, le 30 octobre 2008 à 23:25
Pas emballé par le personnage et le flaconnage, j’allais les sentir un peu sceptique ... surprise en les découvrant ; on comprend pourquoi le Marionnaud des Halles s’est fait dévalisé de "Floriental" dès sa sortie ! Et si KL avait tout compris (il est quand même doué le bougre) ? Formes olfactives originales, belles matières et belle évolution : Floriental et Woody ressortent, Light est plus "passe partout". Le flacon présente finalement assez bien, les fragrances sont parfaitement mixtes... une gamme à découvrir absolument pour les curieux, et avec des 30ml autour de 30€ pourquoi se priver ?
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par carmencanada, le 31 octobre 2008 à 23:35
Ces parfums sont en effet très bien, inattendus pour de la grande diffusion. J’avoue personnellement un faible pour Light que j’ai trouvé plus intéressant que vous — mais c’est vraiment une question de goût.
Je sais également, pour la petite histoire, que Lagerfeld s’est vraiment intéressé assez à leur développement pour les tester — à tel point que certaines personnes de son entourage professionnel ne peuvent pas les porter : ils "sentent Karl". Ce qui est un point assez positif : KL ne s’est pas contenté de prêter son nom et d’engranger les pépètes.
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