Odeur 53
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Après une (trop) longue absence, le livre de référence sur l'industrie du parfum est de nouveau disponible !
il y a 2 heures
Merci pour votre réponse ….non pas de numéro il y avait un numéro en noir mais il s’est(…)
hier
Bonjour, J’ai une moitié de flacon de 50 que je propose à l’échange contre parfum équivalent (en(…)
il y a 3 jours
Bonjour, Je viens d’acquérir les deux derniers flacons disponibles sur le site américain,(…)
Intime conviction
Chaud-froid épicé
Rayons de miel
CDG (un nom d’aéroport, entre parenthèses...) a créé là une odeur, terme que l’on réserve habituellement à la nature plutôt qu’à l’art. Mugler avait préparé le terrain (sortie avant Odeur 53 ? A vérifier) avec sa cologne qui sentait le fer à repasser. Je n’ai pas senti Odeur 53, et je ne suis pas sûr de vouloir un jour sentir comme une salle d’attente de kiné, une rame de TGV, le hall de ma Trésorerie Municipale ou des toilettes d’aéroport (pour ces dernières c’est facile, Kouros fera le travail, mais je m’égare dans la médisance) s’il prenait l’envie à CDG de décliner des flankers (Odeur 54, 55, etc). L’hédione me ferait spontanément penser à Eau Sauvage bien que je doute que 53 soit un hommage, même décalé, à Roudnitska.
En attendant de le tester prochainement, je rends hommage à l’exercice qui consiste à tenter de hisser la parfumerie contemporaine aux côtés de Duchamp et de Magritte (Ceci n’est pas un parfum).