L’Instant
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Mon avis est contrasté sur L’Instant. En lui-même le parfum ne me dérange pas, il sent bon, et je lui trouve un petit aspect de nouveauté (encore aujourd’hui). En revanche, j’ai tout de même fait une association avec Dior Addict, bien que ce dernier soit beaucoup plus sucré et moins poudré, j’admets. Mais l’aspect très moderne, très à la page, me dérange, et je me permet de reprendre l’image qu’a donné Poison Flower avec le chocolat blanc... Du chocolat blanc, c’est presque du chocolat, mais ça n’en est pas. Il manque pour cela l’ingrédient essentiel : le cacao. Et bien là c’est pareil, c’est presque du Guerlain, mais ça n’en est pas vraiment. Les éléments de la guerlinade sont bien là : la sensation poudrée, moelleuse, la vanille, l’aspect balsamique. Mais je trouve que le tout manque de profondeur au final. Même si ce parfum est bien exécuté, et à permis de redynamiser les ventes, L’Instant marque bien le début du tournant qu’a pris Guerlain et qui s’est poursuivi sur Insolence , qui ne m’a vraiment pas plus. Du tout.