Le Dieu cerf, dans les bois de l’église Saint-Eustache
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Un parfum suranné et tendre à souhait, sorte de compagnon idéal de fin de soirée, qu’on ne risquera pas de regretter.
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Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
J’ai reçu ce jour mon flacon et je viens d’essayer Le Dieu cerf : effectivement, la filiation avec Eau sauvage est très nette, mais une Eau sauvage d’avant les divers massacres orchestrés par Dior. Comme le note Duolog, il peut évoquer aussi Eau de Gloire de Parfum d’Empire, en moins aromatique.
Cependant, j’attendais tout de même un peu plus de créativité de la part de Ralf Schwieger (qui a signé L’Eau des Merveilles pour Hermès et Lipstick Rose chez Frédéric Malle) et d’Etienne de Swardt (songeons aux nombreux jus iconoclastes d’Etat libre d’Orange)...
Enfin, ne boudons pas notre plaisir avec ce parfum à l’élégance classique, au prix raisonnable, et qui ne viendra pas déparer ma collection !