Chapel Factory, l’encens en odeur de sainteté
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
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Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Appréciant beaucoup les notes d’encens (j’ai passionnément porté "Bois d’Encens" il y a quelques années), j’ai commandé les échantillons de cette "Chapel Factory" et mon avis est assez mitigé.
Commençons par le meilleur avec "Holy Stick", baumé et résineux à souhait. Le palo santo (je brûle régulièrement de ce bois pour parfumer mon salon, de même que du benjoin ou de l’oliban) est en effet superbement évoqué, avec ses nuances boisées si caractéristiques. Bref, une très belle découverte !
"Heresy" m’a également emballé, sans doute un peu moins : c’est un encens élégant, mais qui se rapproche beaucoup de certains opus de chez Comme des Garçons (en particulier de "Zagorsk").
Les choses se gâtent avec "Baptisma", une verveine banale et qui peut se trouver ailleurs pour bien moins cher. Surtout, selon moi, nulle trace d’encens ici.
Enfin, le pire advient avec "Pura Lux" qui possède la verdeur lourde et agressive de certains parfums masculins du genre Lacoste : j’ai tout simplement détesté ! Et là encore, à mon nez, aucune évocation de la précieuse résine...