Chapitre 2 - Le nez dans les essais : Isabelle Doyen compose Nuit de bakélite
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Cette nouvelle eau légère, mais non dénuée de caractère, démarre sur une pincée de cardamome et de poivre camphrés, annonçant un décor plus solaire.
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Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Épice & love
Bonsoir Passacaille,
Effectivement, la question de l’endroit/envers est cruciale ici. Mais il s’agit simplement d’une question de but (pas limité à la parfumerie, d’ailleurs) : crée-t-on un produit pour répondre à ce qu’un marché demande, ou crée-t-on une demande pour un produit unique, une création ?
Dans bien des cas, un simple produit répondant à la demande suffisant. Mais la parfumerie va plus loin : quand on voit le nombre de personnes qui s’attachent à un parfum pour le porter pendant des dizaines d’années, voire une vie entière, il est clair que le marché gagnerait à s’appauvrir en pâles copies, pour laisser la place à de plus nombreux parfums signés et signatures. L’édition limitée et éphémère ne devrait alors qu’être une exception et un propos artistique, chaque nouveau jus un nouveau terrain de recherche et d’expression, parlant à un public toujours renouvelé.