Joy
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
il y a 15 heures
Certaines senteurs sont genrées, d’autres non ou moins. Dans la catégorie unisexe, un parfum(…)
il y a 17 heures
Bonjour, Farnesiano. "Le Critique de parfum" (anonyme mais à mon avis un nez) écrit ça : "Hermès(…)
hier
Bonsoir, Je ne sais où placer mon intervention sur Barénia, le dernier Hermès sorti il y a(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Et bien ce Joy cuvée 2015 est littéralement atomique comparé à celui de 2018, la différence est flagrante.
Autant celui de 2018 est classe et joli, discrètement opulent et tout à fait portable au quotidien, autant le 2015 sera réservé aux froides journées hivernales quand je me prélasserai au coin du feu vêtue d’un pyjama et kimono en soie dans le plus pur style Gatsby. Peut-être même que je ressortirai mes perles tiens.
Avec cette version je perçois mieux le côté fourrure, diamants et Bugatti, en effet. Un univers bien différent du mien, mais j’adore ! Il a un côté tellement "années folles dans la Haute" et soirées chez Douglas Fairbanks (même si Joy est arrivé 10 ans plus tard), il est tellement too much et complètement inconcevable pour notre époque... Bref : quand il y a débauche de superlatifs c’est que je suis contente.
Maintenant il me tarde de recevoir Que Sais-Je...