Joy
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Et bien ce Joy cuvée 2015 est littéralement atomique comparé à celui de 2018, la différence est flagrante.
Autant celui de 2018 est classe et joli, discrètement opulent et tout à fait portable au quotidien, autant le 2015 sera réservé aux froides journées hivernales quand je me prélasserai au coin du feu vêtue d’un pyjama et kimono en soie dans le plus pur style Gatsby. Peut-être même que je ressortirai mes perles tiens.
Avec cette version je perçois mieux le côté fourrure, diamants et Bugatti, en effet. Un univers bien différent du mien, mais j’adore ! Il a un côté tellement "années folles dans la Haute" et soirées chez Douglas Fairbanks (même si Joy est arrivé 10 ans plus tard), il est tellement too much et complètement inconcevable pour notre époque... Bref : quand il y a débauche de superlatifs c’est que je suis contente.
Maintenant il me tarde de recevoir Que Sais-Je...