Avec Les Épures de parfum, Cartier met la nature en flacon
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 3 heures
Bonjour, Ma première réaction serait le Oud magnétique de Molinard, dans la veine du M7 de Saint(…)
il y a 3 heures
Bonjour, après avoir trop longtemps attendu "Bottega Veneta" qui n’est toujours pas remis en(…)
hier
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Moi j’y crois :)
Toutes les bonnes narrations commence par la suspension de l’incrédulité. On accepte le fait qu’on nous raconte une histoire, et l’immersion commence. Je m’étonne que beaucoup de passionnés ici partent d’un a priori négatif.
Donc j’irais les tester. (Et pas forcément les acheter). Pour l’instant je peux juste en dire que les photographies sont très belle, et que j’aime le libellé de presse passe bien. J’attends particulièrement "Pur Kinkan", car les nez qui maîtrisent les hespéridés sont très rares, et depuis "Pamplelune" "Flora Nerolia" "L’heure fougueuse" je sais que je peux faire confiance à Mathilde Laurent.
Le magnolia et le muguet seront aussi des tests ardus, puisqu’on peut tout de suite faire la comparaison avec pleins d’autres. Personnellement avec Elena chez Hermès, j’avais trouvé "Muguet porcelaine" beaucoup trop proche de Diorissimo, avec un petit côté synthétique dans le fond. J’espère que Cartier saura se démarquer.
Bref, j’ai hâte