La Couche du diable, les braises de l’enfer par Serge Lutens
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À l’occasion de la Journée internationale de l'herboristerie, voici notre nouvelle revue de sorties extraite du potager.
Mimosa bleu
Eau archangélique
Sel de bois
Mais qui s’intéresse à la parfumerie de niche, et l’achète, met forcément les pieds dans le luxe... Et achète du luxe ! Mais luxe ne veut pas forcément dire taper dans le portefeuille. C’est avant tout un savoir-faire, une distribution plus confidentielle, l’utilisation de belles matières premières (nous savons tous que le prix d’un parfum est impacté par le packaging mais aussi par les dépenses liées au marketing, pub, etc, propres au mainstream). Lutens aux tous débuts était un peu plus cher que les parfums "classiques", mais c’était une autre qualité, une véritable originalité et donc... du luxe à excellent qualité-prix.
Le parfum, même dans le luxe, est censé être un centre de profit. Céline a sans doute laissé carte blanche à Slimane, mais il aura des comptes à rendre si ça ne marche pas suffisamment. Mais qu’au moins Céline le laisse faire à son idée en rupture avec la concurrence est un bon signe... À moyen terme !
Je ne comprends pas pourquoi vous voulez opposer luxe et mainstream, surtout quand une marque comme Lutens vend une partie de ses parfums sur les deux marchés, celui de Sephora le mettant dans une zone ++, avec des prix supérieurs à ceux de Parfum d’Empire, par exemple.. D’ailleurs, le début de la chute, pour moi, date pile de ce moment où SL s’est implanté dans les Sephora-Marionnaud-Nocibé.
Le choix de "déplacer" Tubéreuse Criminelle dans une collection hors de prix, hyper "show off" niveau packaging (qui ne rentrerait pas dans ma bibliothèque de parfums, d’ailleurs) est pour moi totalement arbitraire. Mais comme la formulation va être prochainement revue, mon deuil sera sans doute plus facile à faire.
Heureusement qu’il me reste une version Vintage !