Fidji
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 14 heures
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
il y a 14 heures
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
il y a 15 heures
Bonjour Garance, je n’ai pas encore senti le Madagascar, mais ce que vous en dites sur le doute(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Je me raccroche au wagon Fidji pour évoquer un autre parfum de Guy Laroche : J’ai Osé (1977) ; il vaut vraiment le coup d’œil (ou de nez plutôt).
Un parfum assez déroutant : un féminin opulent où les fleurs sont à l’arrière plan, à la fois chypré et oriental. Des facettes complexes dont la combinaison n’est pas habituelle : du miel, du cuir, du fumé, du terreux, du balsamique , un peu de fruité (pêche) avec un discret bouquet floral (iris jasmin rose). Il est très centré sur les bois (vétiver, santal, cédre, mousse de chêne) pour un féminin mainstream, même vintage. A l’heure actuelle, une telle fragrance pourrait ravir les amatrices (teurs) de création de niche pointue.
Autre curiosité, J’ai Osé a aujourd’hui été discontinué sous la marque Guy Laroche, mais il est toujours disponible sur le marché. Mystère des licences et de la propriété intellectuelle, il est vendu aujourd’hui (essentiellement en ligne) sans marque . Je précise que la version que j’ai sous le nez est celle vintage de Guy Laroche, je ne connais pas la version no-name actuelle.