Quel parfum portez-vous ?
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Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
il y a 7 heures
Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
il y a 12 heures
J’ai enfin trouvé son remplaçant, Sauvage de Dior, qui n’a rien à voir au niveau fragrances, mais(…)
il y a 15 heures
Bonjour tristesse. On fait tout une smala d’un insignifiant village, dans un quasi-pays,(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Accident olfactif : crottin de brebis.
Ne croyez surtout pas que ce serait un reproche, bien au contraire, ce parfum frais et herbacé si typiquement bretonnant ne m’évoque pas tant Brocéliande que les chemins poussiéreux d’Ardèche où ovins et caprins lâchent de petites boules noires fragrantes qui en séchant se mêlent à l’odeur des fougères et des genêts avec un parfum fruité d’herbe grillée.
Exemple parfait du travail d’Anatole Lebreton, L’Eau de Merzhin est merveilleusement évolutif, presque protéiforme : en hiver ou en été, voire de jour ou de nuit, les paysages qu’il peut dessiner sont tout à fait différents. Quand on aime, on s’y sent à la fois chez soi et aventureusement dépaysé.
À comparer avec Foin fraîchement coupé d’Oriza Legrand ?