Jicky
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Après une première édition réunissant près de 3000 passionnés et professionnels du monde entier, la Paris Perfume Week revient du 20 au 23 mars 2025 au Bastille Design Center. Dans son sillage, se dessine une programmation inspirée et foisonnante.
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Certaines senteurs sont genrées, d’autres non ou moins. Dans la catégorie unisexe, un parfum(…)
il y a 7 heures
Bonjour, Farnesiano. "Le Critique de parfum" (anonyme mais à mon avis un nez) écrit ça : "Hermès(…)
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Bonsoir, Je ne sais où placer mon intervention sur Barénia, le dernier Hermès sorti il y a(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Vous galéjez, cher. Pourquoi pas Samsara avec La Petite Robe noire et une goutte d’un bois-qui-pique lancé dans le mélange depuis une distance respectable ?
Je n’associe vraiment pas le parfum au sale. Le sale, pour moi, c’est de la crasse, des relents, des remugles de pas-lavé depuis des jours. Sueur macérée, graisse rance, lait tourné, fruits pourris... J’ai grandi entre une très grande ville et la campagne profonde. J’ai l’habitude de l’odeur des bêtes de ferme. Je n’aime guère l’odeur du fumier, mais elle n’est pas sale, pour moi, à moins que je sois tombée dedans. Et, contrairement à l’écrasante majorité des urbains de ma génération, j’ai déjà senti un bouc. Je ne sais pas si après ça je pourrais trouver grand-chose en parfumerie « bestial » !
Cela dit, le sujet offre un éventail infini de discussions philosophiques, sociologiques, écologiques, politiques et, bien entendu, artistiques... À cet égard, je trouve la conversation à bâtons rompus sur AuParfum très stimulante. Le thème est abordé ailleurs et suscite autant d’intérêt – par exemple dans les commentaires sous l’article consacré à Muscs Koublaï Khän.