Jicky
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Cette nouvelle eau légère, mais non dénuée de caractère, démarre sur une pincée de cardamome et de poivre camphrés, annonçant un décor plus solaire.
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Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Épice & love
Vous galéjez, cher. Pourquoi pas Samsara avec La Petite Robe noire et une goutte d’un bois-qui-pique lancé dans le mélange depuis une distance respectable ?
Je n’associe vraiment pas le parfum au sale. Le sale, pour moi, c’est de la crasse, des relents, des remugles de pas-lavé depuis des jours. Sueur macérée, graisse rance, lait tourné, fruits pourris... J’ai grandi entre une très grande ville et la campagne profonde. J’ai l’habitude de l’odeur des bêtes de ferme. Je n’aime guère l’odeur du fumier, mais elle n’est pas sale, pour moi, à moins que je sois tombée dedans. Et, contrairement à l’écrasante majorité des urbains de ma génération, j’ai déjà senti un bouc. Je ne sais pas si après ça je pourrais trouver grand-chose en parfumerie « bestial » !
Cela dit, le sujet offre un éventail infini de discussions philosophiques, sociologiques, écologiques, politiques et, bien entendu, artistiques... À cet égard, je trouve la conversation à bâtons rompus sur AuParfum très stimulante. Le thème est abordé ailleurs et suscite autant d’intérêt – par exemple dans les commentaires sous l’article consacré à Muscs Koublaï Khän.