Jicky
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
hier
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
hier
Bonjour laprincesseaupetitpoids, bonjour à tous, nous avons très probablement le même : un grand(…)
il y a 2 jours
Bonjour Adina j’ai un Miss Dior vintage flacon 210 ml flacon pied de poule j’aime énormément(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Vous galéjez, cher. Pourquoi pas Samsara avec La Petite Robe noire et une goutte d’un bois-qui-pique lancé dans le mélange depuis une distance respectable ?
Je n’associe vraiment pas le parfum au sale. Le sale, pour moi, c’est de la crasse, des relents, des remugles de pas-lavé depuis des jours. Sueur macérée, graisse rance, lait tourné, fruits pourris... J’ai grandi entre une très grande ville et la campagne profonde. J’ai l’habitude de l’odeur des bêtes de ferme. Je n’aime guère l’odeur du fumier, mais elle n’est pas sale, pour moi, à moins que je sois tombée dedans. Et, contrairement à l’écrasante majorité des urbains de ma génération, j’ai déjà senti un bouc. Je ne sais pas si après ça je pourrais trouver grand-chose en parfumerie « bestial » !
Cela dit, le sujet offre un éventail infini de discussions philosophiques, sociologiques, écologiques, politiques et, bien entendu, artistiques... À cet égard, je trouve la conversation à bâtons rompus sur AuParfum très stimulante. Le thème est abordé ailleurs et suscite autant d’intérêt – par exemple dans les commentaires sous l’article consacré à Muscs Koublaï Khän.