Sombre, intense et bucolique
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Après une première édition réunissant près de 3000 passionnés et professionnels du monde entier, la Paris Perfume Week revient du 20 au 23 mars 2025 au Bastille Design Center. Dans son sillage, se dessine une programmation inspirée et foisonnante.
il y a 3 heures
Bonjour Adina78, Je ne comprends pas, je ne recense quant à moi que 7 parfums en vente sur les(…)
il y a 7 heures
Je lis ce commentaire seulement maintenant. + 1000 ! C’est encore plus vrai aujourd’hui. Il(…)
il y a 15 heures
C’est un véritable voyage sensoriel que vous nous offrez avec cette description ! En tant que(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Jicky m’a devancée en suggérant Dzongkha mais je puis rajouter qu’il n’a rien d’animal, si c’est une chose qui vous effraie. C’est un parfum à la discrète présence, unisexe, passionnant, et complètement polymorphe parce qu’il mue sur la peau suivant la personne et le temps qu’il fait.
Franchement, chez L’Artisan parfumeur, quand vous avez parlé sous-bois, j’ai aussitôt pensé à Voleur de roses . Un patchouli sombre, terreux, humide, où une vie chaude gronde par en-dessous, et d’où s’échappent des vapeurs florales un peu étranges, un peu inquiétantes, comme s’en échappent quelquefois de l’humus après une pluie d’orage. C’est un boisé atmosphérique, si l’on veut, sans aucun des poncifs du boisé masculin moderne. Unisexe, sans âge, faussement simple, quelquefois dérangeant, d’une beauté rare, exigeant, il est contemplatif, épuré, à l’occasion maussade, et d’autres fois vous assaille à coups de fleurs. Tout le monde n’oserait pas le porter.
P.S. : vu récemment sur la Baie pour la moitié de votre budget.