Les parfums de bas étages
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 5 heures
Bottom feeder ’Des Esseintes’, so triggered by opposing thoughts... agreed, this is trickle down(…)
il y a 5 heures
Le personnage de la jettseteuse... ça fait tellement Dubai 2012 ! (Rires). Le monde évolue sans(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Oh que si !
Je ne pardonnerai JAMAIS à Balmain d’avoir arrêté Ivoire.
Quant à Nina Ricci et Cacharel, je n’ai jamais été fan de leurs parfums mais ils avaient lancé une gamme de cosmétiques et de maquillage très qualitatifs dans les années 90, avec des packagings très stylés (surtout Ricci). Je regrette de ne pas les avoir gardé une fois vide.
Grès et son Cabochard en bouteille ronde avec son noeud en verre dépoli : je me rappelle de l’extrait, la texture était huileuse à l’époque. Lacroix et son "C’est la Vie" tellement extravagant. Je me souviens aussi de Ferré by Ferré, un flacon noir et rond enserré d’une résille et cette fragrance, mon dieu. Michelle de Balanciaga, un aldéhydé-fruité-chypré saturé de fleurs blanches, le début des parfums fourre-tout et démesurés des années 80.
Quant aux autres, s’ils existent encore c’est malheureusement trop souvent en version édulcorée, retouchée, reformulée sans la fameuse molécule qui faisait toute la différence mais, oh mon dieu, allergène pour 0,0001 % de la population. Quel gâchis.