Les parfums de bas étages
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Oh que si !
Je ne pardonnerai JAMAIS à Balmain d’avoir arrêté Ivoire.
Quant à Nina Ricci et Cacharel, je n’ai jamais été fan de leurs parfums mais ils avaient lancé une gamme de cosmétiques et de maquillage très qualitatifs dans les années 90, avec des packagings très stylés (surtout Ricci). Je regrette de ne pas les avoir gardé une fois vide.
Grès et son Cabochard en bouteille ronde avec son noeud en verre dépoli : je me rappelle de l’extrait, la texture était huileuse à l’époque. Lacroix et son "C’est la Vie" tellement extravagant. Je me souviens aussi de Ferré by Ferré, un flacon noir et rond enserré d’une résille et cette fragrance, mon dieu. Michelle de Balanciaga, un aldéhydé-fruité-chypré saturé de fleurs blanches, le début des parfums fourre-tout et démesurés des années 80.
Quant aux autres, s’ils existent encore c’est malheureusement trop souvent en version édulcorée, retouchée, reformulée sans la fameuse molécule qui faisait toute la différence mais, oh mon dieu, allergène pour 0,0001 % de la population. Quel gâchis.