Serge Lutens agrandit la Section d’or
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 5 heures
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
il y a 5 heures
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
il y a 6 heures
Bonjour Garance, je n’ai pas encore senti le Madagascar, mais ce que vous en dites sur le doute(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Je trouve certains petits textes de Lutens plutôt réussis... ça ne marche pas à chaque fois, mais il a eu de belles sorties. Ces dernières saillies sont un peu plates il est vrai, et il faut se méfier du fétichisme lutensien - ceci dit je mesure la rupture que représentait ce type de communication par rapport au reste du monde du parfum. Et malheureusement, avec les nouvelles collections, j’ai bien peur que ce soit la fin de cette stratégie de rupture : désormais, ce sera la distinction par le prix, et au diable le romantisme finissant (certes pas toujours de la meilleure manière) du Lutens que l’on a connu. J’ai entendu dire que Serge Lutens (l’homme) ne s’occupait plus beaucoup de la marque... Et ça se voit dans cette nouvelle collection "Gratte-ciel". La communication autour de celle-ci est moche, sans âme, et n’a aucun sens dans le travail de Lutens (cherchez l’intru : Arabie, El Attarine, Rahät Loukoum, Bornéo, Les gratte-ciels de New-York).
On est passé du fantasme de l’orientalisme des courtisanes à la prostitution de chantier... C’est assez triste.