L’Eau Serge Lutens
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 semaines
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je rejoins ce qui a été dit auparavant et enfonce le clou : cette Eau, fort bien faite au demeurant, est un pléonasme, une redondance totale dans le travail de Serge Lutens. Toute sa parfumerie jusqu’à maintenant, difficile, radicale, exclusive, s’est attachée à faire du parfum une chose rare et précieuse, l’antithèse d’un produit banal, le bourreau du convenu et du vulgaire : qu’avait-il besoin de cette insignifiante cologne pour illustrer le propos ? Ses précédentes créations avaient déjà fait le travail nécessaire pour défendre son point de vue, et ce manque de subtilité soudain écorche sacrément la poésie de son oeuvre. Que personne ne se trompe (je rejoins tout à fait Orphée) : vendre 100 euros ce banal sent-bon, c’est entrer dans la danse qu’il condamne ! Un non-sens absolu, à mon humble avis...