L’Eau Serge Lutens
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Je rejoins ce qui a été dit auparavant et enfonce le clou : cette Eau, fort bien faite au demeurant, est un pléonasme, une redondance totale dans le travail de Serge Lutens. Toute sa parfumerie jusqu’à maintenant, difficile, radicale, exclusive, s’est attachée à faire du parfum une chose rare et précieuse, l’antithèse d’un produit banal, le bourreau du convenu et du vulgaire : qu’avait-il besoin de cette insignifiante cologne pour illustrer le propos ? Ses précédentes créations avaient déjà fait le travail nécessaire pour défendre son point de vue, et ce manque de subtilité soudain écorche sacrément la poésie de son oeuvre. Que personne ne se trompe (je rejoins tout à fait Orphée) : vendre 100 euros ce banal sent-bon, c’est entrer dans la danse qu’il condamne ! Un non-sens absolu, à mon humble avis...