Le rêve d’Orient, par Hermès
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 23 heures
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonjour !
J’ai eu l’occasion de sentir ces nouveautés lors d’un incursion récente à un corner Hermès : les edt sur touche, et les huiles sur peau.
Verdict : rien de révolutionnaire, mais tout est beau, et surtout rien n’est laid, bref du pur Hermès.
Pour ce qui est des huiles en particulier, et bien que j’aie conscience que c’est un choix clivant de la part d’Hermès, je les ai appréciées pour une qualité en particulier : celle de la seconde peau. En les mettant (en particulier Musc Pallida), j’ai vraiment eu la sensation que ce n’était pas un parfum plaqué sur ma peau, mais vraiment comme si ma propre odeur avait été améliorée, raffinée, complétée. C’est une sensation que je n’avais eu avec aucun parfum sur base d’alcool, et je dois dire que c’est particulièrement agréable. Si le prix n’avait pas été si stratosphérique, j’hésiterait peut-être à prendre Musc Pallida comme parfum des jours où je ne me sens pas d’assumer un parfum de caractère, mais en voulant malgré tout être "habillé olfactivement" ^^
D’ailleurs, ce côté seconde peau donne peut-être un peu plus de sens au "geste de superposition". Mais c’est vraiment peut-être, j’ai pas très envie d’essayer.
Conclusion : pas de passion extrême, mais tout de même, ça reste très beau, et c’est très agréable à porter, comme un pull en cachemire.