Dent de lait et Bourreau des fleurs, les réminiscences tranchantes de Serge Lutens
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À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
il y a 12 heures
Certaines senteurs sont genrées, d’autres non ou moins. Dans la catégorie unisexe, un parfum(…)
il y a 14 heures
Bonjour, Farnesiano. "Le Critique de parfum" (anonyme mais à mon avis un nez) écrit ça : "Hermès(…)
hier
Bonsoir, Je ne sais où placer mon intervention sur Barénia, le dernier Hermès sorti il y a(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Serge Lutens s’illustre en ce moment en diffusant une photo d’une jeune fille coiffée d’une tête et d’une peau de Léopard.
Avec en toile de fond un joli petit poème alambiqué comme il sait tant le faire.
C’est dégoulinant de poésie morbide.
C’est ciblé car le marché asiatique « se contrefout » de la notion de souffrance animale.
Mais ce qui me touche le plus et personnellement,c’est le sort réservé aux Purs Sang Arabe des pays du golfe où certains chevaux meurent de fractures de fatigue en pleine épreuve. Pays du golfe, autre cible d’un marché très lucratif...
La poésie de Mr Lutens me dégoûte et j’eviterai a l’avenir le Navrant Sultan.