Dent de lait et Bourreau des fleurs, les réminiscences tranchantes de Serge Lutens
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Serge Lutens s’illustre en ce moment en diffusant une photo d’une jeune fille coiffée d’une tête et d’une peau de Léopard.
Avec en toile de fond un joli petit poème alambiqué comme il sait tant le faire.
C’est dégoulinant de poésie morbide.
C’est ciblé car le marché asiatique « se contrefout » de la notion de souffrance animale.
Mais ce qui me touche le plus et personnellement,c’est le sort réservé aux Purs Sang Arabe des pays du golfe où certains chevaux meurent de fractures de fatigue en pleine épreuve. Pays du golfe, autre cible d’un marché très lucratif...
La poésie de Mr Lutens me dégoûte et j’eviterai a l’avenir le Navrant Sultan.