Love, Chloé
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 12 heures
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonsoir, nezzen
Comme Alix, je confirme la nuque (tout en rectifiant le « chère » en « cher »), avec ou sans cheveux, un endroit souvent dégagé qui fonctionne en véritable diffuseur ; je n’oublie pas les tempes non plus ! (ni d’ailleurs les avant-bras lorsqu’ils sont découverts, en été)
D’après mon expérience, je trouve que les poignets, c’est une légende qui a la vie dure, surtout pour quelqu’un qui se lave les mains aussi fréquemment que moi, mais cela n’engage que moi. La saison froide s’approchant, un cache-nez en laine ou même en coton est un accessoire où les parfums adorent se nicher et qui vous enveloppe d’une aura olfactive captivante, mais gare aux passages en cuisine !
Vous avez bien raison : à bas l’embarras vis-à-vis du genre des senteurs. Ces dames nous piquent bien les nôtres, et de plus en plus. Pour moi, le parfum est un monde sans garde-fou, et j’ai même recours à des arômes alimentaires que je remixe et redose pour retrouver une madeleine que j’ai envie de savourer.