Hyberbole de Courrèges, tabac graphique
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Venant de m’abonner, j’ai reçu avant hier la Box - un grand merci à l’équipe d’Auparfum -qui m’a permis de renouer avec cette joie enfantine du colis surprise. Première hésitation : avec quel jus commencer ... j’ai jeté mon dévolu sur Hyperbole, essayé rapidement il y a un mois parmi 5 ou 6 autres parfums et que je n’avais alors pas particulièrement apprécié. Qui trop embrasse mal étreint. Les narines saturées d’une cacophonie de notes surfleuries, j’avais trouvé terne et sombre ce nouvel opus de la maison Courrèges. Mais je revois aujourd’hui complètement mon jugement. Le jus est chaleureux et si les notes de tête ne me touchent guère, le coeur est des plus agréables et harmonieux : un doux voile vanillé, tendre, boisé (les feuilles de tabac je suppose), chaleureux, présent mais pas envahissant. Il se situe à mi chemin entre Habanita Cologne et Miss Dior l’Originale. Il a le velouté des deux, la vanille du premier et la sensualité discrète, chaleureuse et élégante du second. Une très belle découverte et je l’espère un futur classique !