Qui est propre, qui est sale ?
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 2 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 2 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 5 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
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Petitgrain devient grand
Pour moi le terme sale est mal choisi. Avant de parcourir les sites de passionnés comme Auparfum, il ne m’était jamais venu à l’esprit que des parfums que je portais pouvaient être considérés comme "sales" (Aramis, Eau d’Hermès). L’idée-même m’aurait semblé totalement absurde.
je pense que les gens sont influencés par ce qu’ils savent de l’origine par exemple du civet, et par d’autres avis de passionnés, eux-même influencés par leur connaissance etc., et de là portent un jugement sur le fait que certains parfums seraient "sales".
Je vais en faire la démonstration : portez pendant une journée Jicky ou Shalimar ou Kouros ou l’eau d’hermès. Demandez autour de vous ce que votre entourage sent. Je suis prêt à parier que personne ne dira ni ne pensera que c’est "sale" (la raison étant bien-sûr que ces parfum sentent très bon). Peut-être dira-t-on que c’est "vieux". Donc je pense que le terme de "sale" est une déformation propre aux gens qui en savent trop sur la parfumerie.
Dans mon esprit, je qualifiais la note de Civet (avant de savoir qu’il s’agissait de civet) présente dans Aramis et Eau d’Hermès d’odeur de "peau", ou "grave" (par opposition aux notes fraiches que je qualifiais d’ "aigues")
Le terme d’ "animal" me conviendrait déjà beaucoup mieux.