Un parfum pour s’envelopper comme dans une fourrure
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Smell Talks : 1925, le parfum dans l’Exposition des arts déco
Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
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Bonjour Nikita,
A la lecture de votre quête, je repensé immédiatement au parfum "RUSSKAYA KOZHA" de Berdoue.
J’ai vécu 2 ans en Russie et je portais une doublionka, une "peau retournée" pour affronter l’hiver rigoureux... Elle sentait le chaud, la douceur, la protection, la sécurité, ma madeleine de Moscou ;-) je me lovais littéralement à l’intérieur. Lorsque j’ai humé russkaya kozha chez Jovoy, en un quart de seconde j’ai parcouru les quelques 5000km qui me séparaient de Moscou et me suis retrouvée dans mon cocon hivernal...
Sinon, un parfum de chez Lorenzo Villoresi "TEINT DE NEIGE".. douceur, velouté, intensité, persistance. On n’y retrouve cependant aucune note ambrée ou vanillée. Mais le sillage très musqué "propre" peu évoquer l’odeur d’une peau poudrée ou fraîchement lavée.
Hâte de savoir ce que vous en pensez !
Bonne recherche à vous