Green Water
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Un grand merci à Au Parfum et à la maison Jacques Fath de nous permettre de découvrir ce nouveau parfum. J’ai été enchanté d’être sélectionné, enchanté de trouver l’échantillon dans mon courier. Je l’ai malheureusement été beaucoup moins lors des essais successifs. La cologne fraîche et verte est un genre que j’affectionne et porte finalement assez souvent : l’Eau d’Orange Verte d’Hermès, l’Eau de Guerlain, la cologne de Mugler, l’Eau de Lierre de Diptyque...
Ayant lu la description de Green Water avant le test, je m’attendais à quelque chose de plus... tranché et puissant... L’ouverture est très "cologne", classique, avec tout le confort que procurent les belles matières (on sent bien qu’on a à faire à une eau de qualité). Ensuite et très rapidement, les choses s’adoucissent : aurais-je reconnu le néroli, la menthe si je n’avais pas lu la composition avant ? Pas sûr. Puis vient un fond de musc à peine relevé par ce que je perçois comme une pointe de vétiver (?).
Ce que je lui reproche c’est d’être trop poli, le cheveux bien coiffé avec la raie de côté bien dessinée, mais pas comme celle d’un hipster, plutôt comme celle de Mr Fillon (pour prendre un exemple dans l’actualité) ! Trop poli et avec sur moi, malheureusement, aucune tenue : au bout de 45 minutes on sent bien vaguement quelque chose mais on ne sait plus quoi... C’est dommage car comme je le disais plus haut, j’aime bien porter ce genre de parfums frais et verts (après le sport, le week-end...). Mais là il me le faudrait en version ultra concentrée !