Parfumer ses souvenirs
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 19 heures
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
il y a 19 heures
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
il y a 19 heures
Bonjour Garance, je n’ai pas encore senti le Madagascar, mais ce que vous en dites sur le doute(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Enchantée de découvrir ce post !
Là, on est en plein dans mon vice ^^
Je calcule, en effet, très souvent quel parfum mettre en quelle occasion afin de créer de moi-même mes propres madeleines de Proust olfactives.
Cette idée m’est venue jeune ; avant même de m’intéresser au parfum ni de réaliser l’importance de l’odorat.
Entre 17 et 18 ans, voyageant souvent à Berlin pour y voir mon grand amour de l’époque, j’emportais immanquablement une trousse en boutis de coton prêtée par maman dans laquelle je mettais une brosse, un savon ainsi que mon après-shampoing et à la vanille Garnier (il existe encore des déclinaisons de ce succès commercial même si je suis passée au bio depuis un lustre). L’ayant laissé et oublié fermé, lorsque j’ouvris à nouveau ce vanity, les senteurs qui s’en exhalèrent me frappèrent fortement et je me vis instantanément transportée à Köpenick !
Dès lors, en bonne rouée que je suis, je décidai de garder cette trousse fermée et de ne l’ouvrir que rarement. De là me vins la pratique régulière de réserver sciemment chaque parfum à une envie, une émotion, une atmosphère, une période de l’année, afin de recréer ce plaisir si sublime !