Opium
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 22 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Potra,
J’aurais pu écrire mot pour mot ton évocation d’Opium. De mon enfance jusqu’à l’âge adulte j’ai moi aussi été fascinée par la sorcière, archétype de la femme redevenue sauvage, ayant un rapport intime avec la nature, exerçant une étrange fascination sur les hommes...
A dix-sept ans, lorsque je tirais les cartes (les runes plus exactement) lors de fêtes médiévales, les cheveux roux et mes yeux bleus cernés de noir, noyée sous les odeurs du foin et les vapeurs d’Hypocras, c’est l’eau de toilette d’Opium que je portais.
J’ai conscience que c’est une description prétentieuse, mais c’est une façon pour moi de vous faire comprendre ce que je ressentais en le portant.
Ce flacon de mes dix-sept ans appartenait à ma mère, bien plus sophistiquée que moi, cela lui allait bien aussi... J’aimais bien cette idée de transmission mère-fille, ou comment je portais la même odeur mais de manière totalement différente.
La suite, vous la connaissez : il a été reformulé et je n’ai plus jamais retrouvé en parfumerie un jus qui m’envoûte à ce point.