Tabac Tabou
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
hier
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Merci, Newyorker, pour cette longue et si juste évocation de ce nouvel opus de Corticchiato que tu décris admirablement. Comme je l’avais confié à Ap juste après l’avoir senti, ce Tabac Tabou est une splendeur, une vraie merveille, qui figurera dans mon top 10 des meilleures créations 2015. Tabac Tabou est à la fois terriblement séduisant, comme si on l’avait connu depuis toujours (et pourtant il ne ressemble à aucun autre), et terriblement ensorceleur. Tant de couleurs, de textures, de brins de nature distincts ici rassemblés nous sont proposés avec naturel, finesse et justesse qu’on en est ému. Et quelle évolution ! Du grand art. Et cette blondeur de fin du jour quand l’air s’animalise doucement et nous enveloppe d’un halo de bonheur délicatement miellé et subtilement mêlé de la senteur d’immortelles que nous apporte le vent au terme d’une journée chaude et heureuse. C’est là tout le travail d’un orfèvre authentique, sensible, généreux, poète, dans une absence totale de prétention. Le mot Art me vient à l’esprit.