Rêve de la Reine
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonsoir,
J’ai souhaité participer à cette campagne de test pour challenger mon profil olfactif (oriental vanillé et facetté) compte tenu du brief de Rêve de la Reine.
Je l’ai porté à 4 reprises. Mon sentiment est départ vif avec une rose fraiche qui s’impose très vite, prégnante et restant et délicate. Douceur et sensualité s’installent ensuite avec le côté poudré de l’iris, en osmose avec l’univers de Marie Antoinette.
Les notes de fond boisées et vanillées restent discrètes pour laisser la rose poudrée et musquée au cœur de l’émotion olfactive.
In fine la fragance est discrète et semble en cela en opposition avec la frivolité légendaire de Marie et son univers fantasque. Le facteur limitant est pour moi la tenue : de très courte durée, trop courte durée. La fragance est belle mais fugace et au bout d’une heure ma peau est nue, le parfum ne tient pas sur ma peau. Il n’y a pas de sillage.
N’est ce pas la durée qui fait la qualité d’un parfum ou bien s’agit-il d’un parfum moderne ?
Bien à vous