Sephora Flash, nouvelle génération connectée
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 10 heures
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
hier
Bonjour à vous, Je reviens sur cet article, 13 ans après mon message où je faisais part de ma(…)
il y a 2 jours
J’ai une place tout au chaud dans mon cœur pour Œillet Bengale. C’est le parfum qui m’a fait(…)
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Amusant, mais c’est bien de Séphora qu’il s’agit et non du futuroscope de Poitiers... Je trouve extrêmement frustrant de ne pas pouvoir repartir avec mes achats. Comme si j’allais me déplacer en boutique pour commander. En général, on commande parce qu’on ne veut/peut pas se déplacer.
Ce qui me plaît beaucoup, en revanche, ce sont les tablettes digitales qui donnent des infos sur les testeurs munis de tags. Reste à savoir de quelle qualité seront ces informations (pyramide olfactive pertinente, histoire/concept du produit, éventuellement l’inci). Et puisque l’on va par là, pourquoi ne pas équiper tous les Séphora de ce merveilleux dispositif qui permet d’éviter de se trimbaler la vendeuse, souvent incapable de nous renseigner, et dont la présence dans nos longs atermoiements nous fait sentir coupables de ne rien acheter à la fin.
Je ne vois dans ce concept store qu’une vitrine par laquelle la marque tente de montrer qu’elle a les moyens, et donc, qu’elle est successful (ce qui induit qu’elle vend de bons produits), qu’en plus, elle est à la pointe de la technologie (et se donne ainsi des airs d’avance sur ses concurrents). Peut-être un petit syndrome "apple store". Bref, à l’évidence, de la poudre au yeux du public afin de faire monter l’enseigne un peu plus haut sur l’échelle du luxe (où, il faut bien l’avouer, elle est un peu basse).