Bas de Soie
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonsoir ici Solance
Je viens de tomber sur votre commentaire (même s’il date de mars dernier !), et je trouve très intéressante la description de l’iris dans ce parfum comme une sorte de précepteur ou de maître à penser qui reste sagement dans l’ombre pour n’en sortir , ainsi que la jacinthe de son embarras que lorsque celle-ci ne maîtriserait pas assez un sujet, ou quand elle se révèle d’une spontanéité un peu cinglante ! Je suis sur "le cas I.S.M." qui m’intrigue et me séduit - mais que froid oui - dans un prime abord qui me dure un peu plus qu’au tout premier essai maintenant, mais fléchit mon enthousiasme, lorsqu’une fois vraiment stabilisé sur ma peau, ne reste plus qu’une empreinte certes douce mais qui tient plus du reflet pâli, décoloré après l’impression première : une magie qui s’étiole !
— Je n’ai pas su déceler la note carotte gelée, dans I.S.M., la poire fraîchement coupée oui et – mais - est-ce hors de propos – j’y ai trouvé à un moment comme quelque chose de l’ordre du concombre frais… ? Bon…je ne sais si c’est improbable pour d’autres.
Votre description de Bas de Soie donne envie de s’y pencher, et est bien amusante !
Iris(s) à suivre décidément...