Iris Silver Mist
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Un accord vibrant de thé noir infusé d’épices, dessinant un contraste entre fraîcheur piquante et douceur enveloppante.
il y a 5 jours
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Jeu d’Hombre
Amande complète
Suave qui peut
Je fais des progrès, si !^^ Après l’avoir boudé deux jours, je revaporise Iris Silver Mist avec plus de conviction : d’emblée, ce jour, c’est "Wow !" Je ne renie plus ma 1ère image positive de l’étang - fraîcheur en son sous-bois. et... je confirme les liens de parenté avec le N° 19, oui : il faut juste clairement ne pas chercher un jumeau, d’où serait l’intérêt d’ailleurs ?... pour mon côté girouette...Tant pis !
La good New c’est que je me voyais déjà m’en séparer : il n’en est plus question.
Pour l’instant, si I.S.M. veut bien rester "identique à lui-même" (vaste programme !!!) : je veux juste dire par là : ressembler à ce qui m’a plu aujourd’hui d’emblée :
Cette fois, l’image qui me vient est l’iris lui-même, d’un bleu profond, dont même j’ai clairement vu l’un des pétales de près, de ce même bleu, se déployant comme une fleur s’étirerait au sortir du sommeil, doucement d’abord, presqu’encor chiffonée , puis avec de plus en plus de netteté sous le regard, offrant aussi ses fines nervures sombres à voir en contraste sur la chair bleue, fragile mais ferme & douce en même temps : le velours est végétal !
Parfum froid, glacial peut-être bien, la saison hivernale - c’est vrai - s’y dessine, s’y abrite, s’y love, c’est un parfum ombreux, le givre n’est pas si loin... Pourquoi j’y vois quelque chose de Noël maintenant ??! Pas de sapins dorés, pas de ces (douces !) histoires-là... Quelque chose de l’ordre de l’attente, du secret, du secret abrité, protégé (?)...
Ce parfum est subtil, austère, fragile & fort en même temps ; il est difficile d’exprimer la force & la fragilité en un même & seul mot. En plus, il est humble et royal à la fois. la nuit est aux étoiles !... Les chemins ombreux de Tolkien se rapprochent... ;)
Parenthèse aux iris :
— Enfant, un massif d’iris violets se trouvait au sortir même de ma maison, même pas une maison, un immeuble : on ne leur avait pas donné - me semblait-il - mise en valeur particulière : un massif ordinaire, un porche d’immeuble flanqué d’iris "Vlan !"... mais je les aimais d’être là et je les humais, en rentrant de l’école, les sentais, ces fleurs désespérantes à ne sentir que peu mais quand même, quand bien même on ne leur "arrache" pas leur parfum dans le sens des pétales... Et un jour, je me sentis (quelque part) un peu importante dans cette histoire d’iris-là : dans mon livre de géographie de la première année de Cours Préparatoire, se trouva/se trouvait la photo de cette cour, avec mon coin aux iris, et un peu plus loin, le cyprès, "sous le soleil exactement" puisque le propos en était justement de montrer l’évolution du soleil en journée, sa position au zénith à midi : le soleil s’y trouvant alors juste au-dessus du cyprès.