Où va la parfumerie (1/4)
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 2 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Les parfumerie de niches n’échappe malheureusement pas (et de plus en plus) à la pression du marché. Le fait de s’inspirer de la réussite du voisin n’est pas nouveau et n’est pas forcément un mal si cela permet d’aboutir à des fragrances intéressantes. Chacun garde cependant sa part d’indépendance, sans pour autant rechigner devant un accord ou un concept qui marche. Serge Lutens est connu depuis toujours pour son amour et sa maîtrise de la parfumerie arabe ce qui lui permet en effet de tenter des choses pas forcément très classique pour nous autres occidentaux. En même temps, c’est ce que j’aime le plus dans ces petites maisons, le fait "d’essayer" des choses nouvelles, et quant on voit parfois le résultat on ne peut être que ravi. Il me suffit de citer Dzongkha de L’Artisan Parfumeur ! A propos de cette marque, il me semble que c’est l’une de celle qui a su rester à la fois originale, novatrice et classique. Notez qu’en 1978 sont sorti Mûre et Musc, L’eau d’Ambre, Santal et Vétiver (les 2 derniers n’étant plus produit) comme quoi le bois a existé en parfumerie avant Féminité du Bois ! En 1993 sort Voleur de Roses un patchouli-rose pas vraiment chocolat sensé être masculin. Résultat : les femmes l’ont adoré (j’en fait parti) !!