Ultraviolet
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonjour, vanille.
Vous portez un merveilleux parfum. Et vous décrivez si bien cette dualité remarquable de froid et chaud. Si on ne s’attarde pas plus dessus, si on reste au stade de mouillette, le parfum est froid et distant, mais c’est en le portent que la chaleur du porteur le transforme à une boule de sensualité. Il se peut que seulement en s’approchent suffisamment du porteur, on peut la découvrir...
Comme Jeanne indique bien dans sa critique, il a montré le chemin à l’Insolence. Une autre violette, encore plus gourmande, mais aussi futuriste, aérienne, éclatante et séductrice. Elles sont tout les deux remarquablement complexes, multifacettés et n’arrêtent pas de surprendre son porteur au fil de leur évolution.
Je suis toujours aussi émerveillée de cette interprétation contemporaine de la violette, une fleur qui dans l’esprit de presque tous évoque tout ce qui est en peu vieux, fané et poussiéreux. Et puis des amateurs de cette fleur sont habitués qu’elle soit timide, fragile et chaste en quelque sorte. Mais non, celle-ci est épicé et montre son coté délicieusement dévergondé à ceux qui le méritent. Et au même temps, elle reste respectable aux yeux de reste du monte. Joli exploit pour une petite fleur si humble.
On peut la comparer au plain d’autres violettes dans la parfumerie, mais personnellement, celle-ci est une de mes préfères. Elle est bien plus ce que elle en a l’air au premier abord.
Et moi aussi, j’apprécie cette touche d’acidité inattendue, mais combien bienvenue. Joli citron, bien jaune. Je trouve que à la sortie du parfum, elle était encore plus prononcée. Puis il y avait tout la gamme pour le corps, et une fois j’ai failli manger le poudre pour le bain, comme des résidus de bonbons acidulés à la fin du sachet, ceux qui nous font frissonner le palet et le dos.
Je ne comprends pas comment je suis arrivé à le laisser à l’écart aussi longtemps...merci, vanille, de m’avoir rappelé à quel point je l’avais aimé.