Parfum Sacré
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 19 heures
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Merci beaucoup, Aurélien Poison Flower, pour ce beau billet sur un bien joli Caron mais qui, à mes yeux, a quelque peu perdu de sa superbe et de son mordant. Ou bien mon nez aurait-il évolué ? Je me souviens qu’il y a quinze ou vingt ans, j’allais régulièrement le sentir en parfumerie. Il m’envoûtait ! Parfum Sacré fait partie des ces parfums assez détonnants, tels que Magie Noire, Opium, Youth Dew, Cinnabar, etc., que j’adorais sans oser les acheter. Aujourd’hui, je ne retrouve plus le même enchantement, même si la création me paraît toujours aussi attachante. A-t-il subi une dure reformulation ? Contraintes de l’IFRA ? Vous avez raison d’évoquer ses prédécesseurs. Du coup, l’envie me prend de me replonger dans mes vieux Caron. Je n’en possède que quatre ou cinq dont Le Tabac Blond, Farnesiana, mon grand chéri, Or et Noir, Royal Bain, Montaigne si peu cité (il me rappelle un peu l’odeur de la merveilleuse huile solaire Délial), plus quelques échantillons dont l’étrange En Avion, qui pâlissent un peu... Merci encore !
PS : Newyorker n’aurait-il plus le monopole Caron ? ;-)