Diorissimo
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À l’occasion de la Journée internationale de l'herboristerie, voici notre nouvelle revue de sorties extraite du potager.
il y a 4 jours
Je parlais de TON message où tu te plie en 4 pour t’excuser de ne pas avoir répondu plus tôt. Je(…)
il y a 5 jours
C’est un vrai passionné qui n’a rien de mielleux et qui s’investi à fond. Il intervient(…)
Mimosa bleu
Eau archangélique
Sel de bois
nouveau lecteur depuis quelques semaines de auparfum, je m’immisce entre deux commentaires pour ajouter une touche musicale.
Au domicile familial pour les fêtes de noël, j’ai saisi l’occasion pour chaparder la boite à chaussure que ma sœurette avait remplie de miniatures de parfums tout au long de son adolescence (les années 90). Et ce matin j’ouvre une petite sélection de flacons (pour la première salve : Diva, Opium, Parfum de Peau, l’Air du Temps et Diorissimo)
La villanelle de Théophile est une évocation très juste à mes oreilles/nez également. Je me permettrais d’ajouter que j’y entends la voix de Régine Crespin chantant le poème mis en musique par Berlioz dans ses "Nuits d’Eté." Mais peut être cette référence vous est aussi connue. Au passage le disque livre également la version indépassée des trois mélodies orchestrales de Ravel, "Shéhérazade" dont la première est nettement plus proche d’Opium pour son opulence somptueuse. Les deux autres "la Flûte Enchantée" et "le Bel Indifférent" (peut êtres les plus belles car plus douces et berçantes) n’ont pas encore trouvées de cousinage olfactif parmi mes minces connaissances.
J’achève ce premier commentaire en remerciant l’équipe de auparfum pour le partage pédagogique et enjoué de leurs passions olfactives, et vous Newyorker plus particulièrement pour ce parallèle poésie/parfum profondément juste.