Nuit de Tubéreuse
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Nuit de tubéreuse me déçoit également. Clairement, elle ne me correspond pas. Je la trouve trop épicée, voire même alimentaire. Elle me rappelle certains plats du Moyen-Orient, très odorants et sophistiqués, ça me renvoie au registre culinaire : quand je le porte, j’ai l’impression de m’être renversée du ghormeh sabzi dessus (un plat qui doit avoir des épices en commun avec ce parfum !). Je comprends qu’il puisse plaire, mais ce n’est pas une tubéreuse représentative de la fleur comme peut l’être Carnal Flower, Tubéreuse Criminelle ou même Fracas (dont la construction est axée sur un binôme avec la fleur d’oranger qui est très réussi mais reste moins réaliste dans le traitement de la fleur que Carnal par exemple). La Tubéreuse du Maître parfumeur et gantier est très intéressante également, avec sa note très amère, qui rappellerait presque le café noir. Celle-ci n’a rien d’opulent ou de solaire, c’est une tubéreuse plutôt sombre et intérieure, qui n’a rien de criard ou de charnel mais qui reste vraiment unique et originale. À tester pour avoir un aperçu différent de la tubéreuse !