Amazon ouvre Beauté Prestige, sa boutique en ligne
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 12 heures
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Mais c’est très bien de ne pas vivre à Paris !
Personnellement, je n’ai jamais été sensible au discours "d’exclusivité". Ça me lasse et me fatigue, car pour moi le prix d’un produit ne devrait pas venir du fait qu’il est introuvable, mais bien de sa qualité. On sait que la qualité est rare, mais cela fait bien longtemps en "parfumerie confidentielle" que l’on sait que la qualité ne rime plus vraiment avec rareté.
Et c’est bien là mon point. La parfumerie dans son ensemble ne peut et ne pourra plus utiliser à moyen terme l’argument d’exclusivité, compte tenu des circuits de distribution qui se confondent, des codes qui se floutent et des jus qui se valent. La qualité du travail du parfumeur et l’originalité des fragrances doit reprendre le rôle central dans le discours. Dans ce sens là, l’arrivée d’Amazon comme nouveau moyen de distribution est pour moi plutôt un point intéressant, car il pourra peut-être pousser les marques à requalifier leur discours, à être plus exigeants sur leurs parfums.
Quant aux lieux de ventes, cela peut aussi être le moyen pour eux de se réinventer et de proposer des choses nouvelles, dans un rapport moins commercial. Ce dont le parfum a bien besoin.