Seville à l’aube
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Tout à fait d’accord avec vous. A la base le locabiotal ça sent bon ! C’était même fait pour sentir bon et faire oublier que c’était un médicament... Bertrand Duchaufour s’est forcément rendus compte à un moment que Séville à L’aube avait une phase locabiotal, non ? En tout cas, Merci pour cet éclaircissement sur la composition de l’arôme.