La Panthère en extrait et des Heures Voyageuses : Cartier sort ses griffes
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 13 heures
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonsoir Opium,
Elle est enfin là, la brève de l’extrait ! Je profite de sa parution pour développer davantage mon ressenti. Je considérais dernièrement que le parfum n’a jamais aussi bien porté son nom, l’aspect animal bien plus présent que dans l’eau de parfum y est, certes un peu pour quelque chose, mais c’est sa fugacité, sa dissipation qui me font tenir ces propos.
Après deux applications consécutives, je restais, telle une chasseresse, à guetter l’animal et le chercher, disposant de mes seuls éléments dont je disposais pour l’apercevoir. Parfois, je devais me contenter d’une présence lointaine mais cette traque olfactive à été l’occasion de découvrir cette version sourde et voilée d’une manière tout à fait prenante.
A réessayer, pour le plaisir du jeu.
Bonne soirée