Ange ou démon
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
hier
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
hier
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
hier
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Encore un parfum à index glycémique élevé.
De la mandarine (ou vodka mandarine avec l’alcool), des fruits au sirop, de la crème : on est effectivement dans l’univers patissier. Je lui trouve une facette amandée (type tonka/heliotropine/colle cléopâtre) présente assez tôt et qui se maintient durant toute son évolution. L’aspect floral m’a un peu échappé avec cette avalanche de sucreries, à moins qu’il ne s’agisse des fleurs qui aromatisent la pate de guimauve. S’il y a un démon dans ce flacon, c’est sans aucun doute celui de la gourmandise.
Le succés du genre gourmand féminin pourrait être du à la "dictature de la minceur" et à son corrollaire, le régime amincissant. Les femmes en auto-restriction de confiseries et patisseries se tourneraient instinctivement vers ce genre de senteur. Hypothèse confirmée par les animateurs d’ateliers olfactifs d’après ce que j’ai lu.