Tour du monde des parfums : les Etats-Unis
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je suis toujours autant (agréablement) surpris de voir un parfum aussi singulier que Aromatics elixir se hisser des deux côtés de l’Atlantique dans le top 30 féminin ! Du coup, il s’agit sans doute là, l’air du rien, du chypré (je parle de vrais chypres ^_^) le plus vendu au monde.
Le destin de ce parfum est quand même extraordinaire quand on y pense bien, puisqu’il avait vocation à demeurer confidentiel (fragrance racée et difficile d’accès, flacon rudimentaire, communication publicitaire réduite au strict minimum, on pourrait le qualifier de parfum de niche, s’il n’était pas aussi largement distribué) et se retrouve finalement classé dans la liste des 30 parfums féminins les plus vendus de deux des plus gros marchés mondiaux (les deux premiers ?). Un joli pied de nez !
Agréablement étonné aussi de la longévité de Coco, en France comme aux Etats-Unis, alors qu’il ne bénéficie pourtant plus de campagne publicitaire depuis plus de dix ans.
Pour finir, je note l’absence de classiques comme Shalimar ou Opium que je pensais retrouver parmi les 30 références préférées des Américaines ; ceci dit elles ont sans doute préféré prévilégier l’équivalent local dans le cas du second. ^^