Un parfum d’ombre et de lumière
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C’est un accord fusant et lumineux entre deux matières pourtant souterraines – le gingembre et le vétiver – qui vient compléter cette année la gamme des infusions de Prada.
hier
Bien jolie collection que ces Malaki de Chopard. Black Incense bien sûr, mais aussi Rose Malaki,(…)
hier
Bonjour à tous, avec beaucoup de retard je m’intéresse seulement maintenant aux créations de(…)
À fond la gomme
Ombres ligneuses
Prendre racine
bonjour Solance,
je ne sais si mes propositions seront de nature à vous aider dans votre recherche, dans la mesure où je manque de culture très certainement, mais une approche totalement erratique peut aussi avoir son intérêt après tout. Si ce n’est pas le cas, j’accepte les boulets rouges ;)
Alors, à vous lire, j’ai pensé à :
l’eau scandaleuse (A. LEBRETON), qui est une tubéreuse, "fumée" pour moi, cuirée telle qu’elle est décrite, mais en tout cas atypique ;
Encens et Lavance ou Fourreau noir chez ce cher Serge, même si Cêdre paraîtrait plus indiqué pour sa tubéreuse et comme vous aimez Dolce Vita, mais je suis partie sur l’encens (mon obsession estivale). Mais vous devez les avoir testés avec les autres Lutens dont vous parlez ? ;
Encens flamboyant (encens toujours, avec une tête qui pique un peu façon Nuit de tubéreuse, mais super confort par la suite) et la Myrrhe chez Goutal (myrrhe vanillée enveloppante), séparément ou ensemble, la collection avait été conçue pour cela à l’origine, pour faire son assemblage perso entre les 4 orientalistes. Je porte l’un (quand il fait chaud, c’est un pur bonheur, il "grésille", comme lu dans l’article d’Ambre gris sur ce parfum, c’est tout à fait ça) ou l’autre (mi saison) ou les deux (besoin d’un oriental classique, au sens capiteux vanillé, vous voyez ?).
Pour les fleurs blanches et l’iode, je passe mon tour : sur moi les unes virent à la charogne et l’autre est un violent vomitif, dommage mais sans appel ;
Comme vous j’aime l’art nouveau, qui correspond bien à mon fonctionnement : pas nécessairement, ou plutôt nécessairement pas, une droite comme chemin entre deux points... Et comme vous je suis une fille de l’excès, je l’avais déjà confessé ici, mon conjoint m’appelle d’ailleurs de façon on ne plus ironique (mais avec infiniment d’amour) Demi-mesure...
Bonne recherche.